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Cafre n.m. N. PEUPLE - PR[67], GLLF, 18e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1685 - «Nous entrâmes dans leurs villages et envoyâmes à leur capitaine, par quelques uns des Caffres qui nous guydoient du tabac, une pipe, de l'eau de vie, un couteau, et quelques grains de corail.» Voiage de Siam du pere Bouvet, 53 (E. J. Brill, 1963) - J.Ki.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1721 - «Nom de peuple, qui habite une grande région de la Basse Ethiopie [...]» Dict. univ. de Trévoux
Cafre n. N. PEUPLE - DDL 4, TLF, PR[77], 1721, Trév. ; GLLF, 18e 1685, dans Lex.[75] et PR[77], correspond à la forme caffre ; cf. DDL 4 et TLF
1616 - «[...] vn Ethiopien, qui le gardoit, de couleur noire, tels que sont les Africains apres que venant d'Europe on a passé le Cap de bonne esperance, les Portugais les appellent Cafres [...] ceux-là estoient quasi ou Iapons, la terreur du Royaume Chinois, ou Ethiopiens d'Afrique ; on les appelle communément Cafres : ou des hommes des Isles de Iaua mineure et maieure, et autres semblables [...]» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault, Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine , 349 et 373 (Cardon) - P.E.
1684 - «Cafres, peuples d'Afrique, Die Cafern / ein volck in Africa // Cafri.» Nouv. dict. du voyageur, fr.-all.-lat., 172a (Chouët) - P.E.
1705 - «A la retraite, on compte tous les Soldats de la Garde, pour en rendre compte au Major ; si quelqu'un y manque, on le rapporte au General, qui tout aussi-tôt le dénonce au Fiscal, qui met tous les Cafres en quête [...]» Relation curieuse d'un soldat déserteur, 12 (Rousselot) - P.E.
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