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ascension n.f. ASTRON. - Mat. I, ND2, PR[67], BW5, 1620 ; AD, 1634, Sully ; DG, Sully ; TLF, 1690, Fur. ; L, ø d.
• acention
 - absent TLF.
v. 1260 - «[...] de l'une acention de la lune a l'autre [...]» Bruno LatiniTresor, 1. 118. 3 (Carmody) - J.H.
ascension n.f. ALP. - RSp., GR[85], 1787, Saussure [cette date est erronée, ascension ne figure pas dans la Relation de 1787] ; TLF, 1845-46, Besch. ; Lex.[79], cit. A. France ; GLLF, ø d.
1796 - «[...] un de ceux qui avoient suivi François Paccard par la montagne de la côte, étoit Jacques Balmat, devenu depuis célebre par son ascension à la cime du Mont-Blanc.» H.B. de SaussureVoy. dans les Alpes, t. 4, 139 (Neuchâtel) - C.T.
ascension d'hiver loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1876 - «La première ascension d'hiver au sommet du Mont-Blanc restera un exploit glorieux dans les annales du Club Alpin Français [...]» Annuaire du Club alpin fr. Année 1875, 738 (Paris) - C.T.
1895 - «L'heure des ascensions d'hiver est passée et la haute montagne devient dangereuse.» R. alpine, numéro 5, avr., 154 - C.T.
ascension directe loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1869 - «C'était le détachement qui s'était donné pour but de faire l'ascension directe du Gartli [...]» Annuaire du Club alpin suisse, 325 (Bâle et Genève) - C.T.
1895 - «[...] il [M. Coolidge] indique aussi, soit la route exacte du Rév. C.H. Pilkington, en 1862, soit une ascension directe par la face rocheuse de l'Est, tout droit jusqu'au sommet [...]» R. alpine, numéro 9, nov., 293 - C.T.
ascension granitique loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1968 - «Pour la progression artificielle, nous avons utilisé presque uniquement des pitons en acier spécial américain, indispensables auxiliaires pour les grandes ascensions granitiques La Montagne et alpinisme, numéro 66, févr., 207 - C.T.
ascension hivernale loc. nom. f. ALP. - [RSp. : s.v. hivernal, in cit., 1966, La Montagne] ; GR[85], ø d ; in Ga [1970] ; absent TLF.
1897 - «Cette course [au Mont Viso] fait le plus grand honneur aux intrépides grimpeurs, que n'a pas effrayés la difficulté de cette ascension hivernale [...]» R. alpine, numéro 6, juin, 192 - C.T.
1906 - M. Scotoni, Une ascension hivernale sur le Monte Baldo, in B. dell' Alpinista, avr.-mai, in La Montagne, numéro 9, sept., 444 - C.T.
ascension propre loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «Le respect de ces critères a amené des performances conséquentes et popularisé des jeux nouveaux : les ascensions 'propres' (dites 'all-out', sans pitonner) en sont un exemple : la voie du Nez au Capitan [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 102, 4, 174 - C.T.
non-ascension n.f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1869 - «Les causes probables de la non-ascension de cette montagne [la Cresta Guzza] sont soit son aspect effrayant [...] soit aussi les prix fous [...]» Annuaire du Club alpin suisse, 107 (Bâle et Genève) - C.T.
problème d'ascension loc. nom. m. ALP. - absent TLF ; in Ga [1970].
1936 - «A vrai dire, le Comité n'a jamais été hypnotisé par l'importance du chiffre rond de 8.000 mètres. Pour qui connaît un peu les choses de l'Himalaya, il est notoire que certaines montagnes de 7.700 ou de 7.800 mètres constituent des objectifs superbes, et représentent des problèmes d'ascension de premier ordre. Mais il est certain malgré tout que la conquête d'un '8.000' aurait sur l'opinion publique un effet plus retentissant [...] Le premier '8.000' à l'Est de la chaîne est le Kangchendzonga (8.603 m.), le deuxième sommet du monde.» La Montagne, numéro 276, févr., 65 - C.T.