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arroyo n.m. d'apr. esp. GÉOGR. "cours d'eau" - TLF, 1885 ; GLLF, ND3, 1888 ; PR[73], Rs, 1890 ; BW5, fin 19e.
1856 - «[...] la route que nous suivions était, à de fréquents intervalles, coupée par des arroyos se dirigeant du sud vers le fleuve. La plupart formaient des fossés profonds, quoique entièrement à sec [...]» A. Le François, trad. : Th. Mayne Reid, L'Habitation du désert, 54 (Hachette) - P.E.
1912 - «Devant la porte un minuscule ruisseau déverse dans l'arroyo des détritus et de l'eau sale [...]» B. Combette, in Nouv. r. fr., n° 48, déc., 1031-2 - P.E.
1913 - «Pour ne pas être surprises, nos deux commères suivirent le lit d'un petit arroyo qui devait déboucher dans 'La mère des Eaux' (1). [...] (1) Appellation khmèr du Mékong.» Lê-Van-Phàt, Contes et légendes du pays d'Annam, 63 (Schneider) - P.E.
1917 - «Car vous avez peur lorsque le typhon brise, comme une paille de riz, les plus grands arbres de la forêt ; Quand l'arroyo déborde, quand le fleuve sort de son lit.» C. Chivas-Baron, Contes et légendes de l'Annam, 97 (Challamel) - P.E.
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