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amour (ce n'est pas de l' -, c'est de la rage) loc. phrast. non conv. AFFECT. - TLF (ce n'est plus -), cit. Giono, 1929 ; DELF, cit. Blondin, 1959 ; GR[85], ø d.
1812 - «FRISAC, pleurant. Ah ! Monsieur, ce n'est pas de l'amour, c'est de la rage DésaugiersLe Mariage de Dumollet, 19 (Masson) - P.E.
amour (pour l'- que) loc. conj. "parce que" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• pelamor que
  non conv. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1650 - «Dame, il estet de ces gens qui aimont mieux croire que Guieu est à la Messe, que d'y aller voir. Il diset en Latin, qu'il n'y a point de Guieu ; ce qui est ben pus meschan, pelamor qu'on y dit la Messe. Et pis on dit qu'il voyaget itou au Ponan. C'est à dire en bon François, qu'il estoit un tantet Vigeon [...]» Le Parasite Mormon, 7 (s.l.) - P.E.
1654 - «Par la morguoi, si j'avoüas une sarpe ei un baston, je feroüas un Gentizome tout au queu. C'est de la Noblesse à Maquieu Furon, va te couché, tu souperas demain. Est-ce donc pelamor qu'ous avez un angain de far au costé qu'ous fetes l'Olbrius et le Vespasian ?» Cyrano de Bergerac, Le Pédant joué, in Cyrano de BergeracOeuvres complètes, 181 (Belin) - P.E.
amour de la patrie loc. nom. m. POLIT. - TLF, cit. Condorcet, 1794 ; DG, GLLF, PR[73], ø d.
Add.DDL
*1790 - «Civisme est un mot imaginé dans ces derniers temps par la scholastique pour désigner une nouvelle vertu, apparemment inconnue aux anciens. Les anciens en connaissaient une qui leur a fait faire de grandes choses ; ils l'appelaient simplement amour de la patrie, et cela présente une idée [...] Le civisme est un devoir de l'homme, qui produit l'amour de la patrie Dict. raisonné de plusieurs mots (Paris) - LTP
amour de la patrie loc. nom. m. POLIT. - DDL 11, 1790 ; TLF, cit. Mme de Staël, 1810 ; DG, R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
1755 - «Il est certain que les plus grands prodiges de vertu ont été produits par l'amour de la patrie : ce sentiment doux et vif, qui joint la force de l'amour propre à toute la beauté de la vertu, lui donne une énergie qui, sans la défigurer, en fait la plus héroïque des passions. C'est lui qui produisit tant d'actions immortelles dont l'éclat éblouit nos faibles yeux, et tant de grands hommes dont les antiques vertus passent pour des fables, depuis que l'amour de la patrie est tourné en dérision.» J.-J. Rousseau, in Encycl., V, 341 (s.v. économie) - M.C.
amour de soi loc. nom. m. RELIG.  THÉOL. - L, DG, R, GLLF, TLF, ø d.
v. 1265 - «De luxure vient avugletés de cuer, non fermeté, amour de soi meismes, haine de Dieu [...]» B. LatiniLi Livres dou Tresor, 313 (Ed. F.J. Carmody, Berkeley/Los Angeles, 1948) - H.F.
amour particulier loc. nom. m. RELIG.  THÉOL.  "amour de soi" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1551 - «A raison de quoy de c'est amour particulier procede tout le mal [...]» J. Martin, trad.La Theologie naturelle de Dom Raymon Sebon, fol. 97 verso (2e éd., Paris, 1565) - H.F.
1569 - «[...] l'amour de nous ou amour particuliere [...]» Montaigne, trad.La Théologie naturelle de Raymond Sebon, fol. 154 recto (Paris) - H.F.
amour privé loc. nom. m. RELIG.  THÉOL.  "amour de soi" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
13e - «[...] quant il propis est de priveie amor. Ligierement puet om conossere, cum contraires soient a la propre volunteit celes choses, que proprement apertienent a la chariteit.» Bernard de ClairvauxPredigten des hlg. Bernhard in altfranzösischer Ubertragung, 118 f (Tübingen, 1894) - H.F.
1488 - «Que lamour privee retarde grandement du souverain bien.» Cy commence le livre tressalutaire de la ymitacion Jhesu christ, 31 (Toulouse) - H.F.
1538 - «amour propre et prive ferme vehementement loeil de raison et est cause / racine et foment de tous maulx.» Anon.Les Contemplations du simple dévot, ch. 31 (Paris) - H.F.
amour socratique loc. nom. m. ÉROT. - FEW (24, 465a), av.1752, Rousseau ; GLLF, 1764, Volt. ; GR[85], Volt. ; L, Lex.[79], TLF, ø d.
1712 - «Un Castillan zélé pour les Laïs, / En leur faveur chantoit comme un Orfée. / Un Florentin pour l'honneur de son Païs / Aux seuls Gitons élevoit un Trofée. / Mais vous voiant en Cavalier coefée, / Chacun changea de gout et de discours : / L'Italien jura que pour toujours / Il quitteroit sa premiére pratique ; / Et l'Espagnol promit tout au rebours, / De n'exercer que l'Amour Socratique J.B. RousseauOeuvres, I, 396 (Fritsch et Bôhm) - P.E.
1743 - «SOCRATIQUE. adj. L'amour socratique. C'est l'amour des garçons.» Dict. univ. de Trévoux - TGLF
amour-propre n.m. RELIG.  THÉOL.  "amour de soi" - Mat. I, PR[67], BW5, ND2, GLLF, TLF, 1613, Ph. Le Bel ; FEW, 1660, Pascal ; L, Saint-Evrem. ; DG, 17e, Pascal.
*1608 - «[...] outre que ces choleres, despitz et aigreurs que l'on a contre soy mesme tendent a l'orgueil et n'ont origine que de l'amour propre qui se trouble et s'inquiète de nous voir imparfaitz.» Fr. de SalesIntrod. à la vie dévote, II, 13 ; cf. 33, 99, 147 et 166 (Roches, 1930) - C.V. - CEFMC
amour-propre n.m. RELIG.  THÉOL.  "amour de soi" - DDL 3, ND4, PR[77], 1608 ; GLLF, TLF, BW6, Lex.[75], 1613, Ph. Le Bel ; FEW (9, 457b), v. 1660, Pascal ; L, DG, cit. Pascal.
1521 - «Et, pour ceste cause [...] il faut estre vuidéz, aneantiz, pauvres, etc., mortz et consuméz de nostre amour propre, de celle du monde [...]» G. BriçonnetMarguerite d'Angoulême, Corresp. (1521-1524), I, 126 (Genève, Droz, 1975) - H.F.
1569 - «Or comme l'amour de Dieu premiere est en nous racine et origine de tout bien, ainsi à l'opposite l'amour propre, et l'amour de soy premiere [...]» Montaigne, trad.La Théologie naturelle de Raymond Sebon, fol. 149 verso (Paris) - H.F.
amour-propre n.m. AFFECT.  "sens mod." - FEW (9, 457b), 1665, La Rochefoucauld ; DG, La Fontaine ; TLF, 1746, Vauvenargues ; R, cit. Vauvenargues ; L, GLLF, PR[77], ø d.
1639-41 - «Ceux qui confondent l'amour de nous mesme et l'amour propre, mettent souvent les tenebres en la place de la lumiere, et appellent le bien mal : car il y a une extreme difference entre l'amour nostre, c'est à dire l'amour de nous-mesmes, et l'amour propre J.-P. CamusL'Esprit du bienheureux François de Sales, t. 3, 10 - H.F.
1642 - «Plusieurs ont fait distinction pour cela entre l'amour propre, et l'amour de soi-mesme.» La Mothe le Vayer, De la Vertu des payens, in La Mothe le VayerOeuvres, t. 1, 726 (3e éd., Paris, 1662) - H.F.
arrière-amour-propre n.m. AFFECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1844 - «Mabillon parle à pleine ouverture de coeur ; aucun arrière-amour-propre ne corrompt la sincérité de ses aveux [...]» ChateaubriandVie de Rancé, 144 (Gallimard) - R.F.
ascension propre loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «Le respect de ces critères a amené des performances conséquentes et popularisé des jeux nouveaux : les ascensions 'propres' (dites 'all-out', sans pitonner) en sont un exemple : la voie du Nez au Capitan [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 102, 4, 174 - C.T.
couvre-amour n.m. arg. CHAPELL. "chapeau" - TLF, cit. Delvau, 1889.
1835 - «TITI [...] Ah ça, oùs qu'est donc mon couvre-amour ? Ah ! le v'là. Il prend son chapeau.» Cogniard frères et JaimeLa Tirelire, 7a (Magasin théâtral) - P.E.
diable (pour l'amour du -) loc. phrast. PHRASÉOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1877 - «Marchez avec les années, mon cher Vallès ; pour l'amour du diable, ne soyez pas une vieille barbe, l'Homère entêté d'une épopée ratée [...]»A. Gill, let. à Vallès, mi-janv., 104 (Delfau) - J.Q.
escalade propre loc. nom. f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1975 - «Ainsi est illustrée l'éthique d'un certain nombre de grimpeurs qui s'efforcent, à l'exemple de grimpeurs américains, de planter le moins de pitons possible. Espérons que ce mouvement pour ce que les Anglo-Saxons appellent 'l'escalade propre' et qui connaît une grande vogue outre-Atlantique va prendre aussi en France et également dans toutes les Alpes.» La Montagne et alpinisme, numéro 100, 2, 88 - C.T.
ex-propre adj. PROPRIÉTÉS ET ÉTATS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1965 - «La flotte a fait des ravages : la penderie traversée, obligée de re-bouillir des draps et torchons ex-propres [...]» A. SarrazinLet. de la vie littéraire, 16 mars, 41 (Pauvert, Livre de poche, 1974) - K.G.
graine d'amour loc. nom. f. rég.  BOT. - FEW (4, 228b), 1872, Lar. ; absent TLF.
1817 - «GRAINE D'AMOUR ou BLE D'AMOUR. C'est le GREMIL, aussi nommé HERBE AUX PERLES.» Nouv. dict. d'hist. nat. (Deterville)
1821 - Dict. des sciences nat., XIX, 273 - R. L. rom., 40, 459.
1842 - Complément Acad.aussi dans La Châtre, 1852.
non-amour n.m. AFFECT. - TLF, cit. Montherlant, 1937.
• non amour
 
1551 - «Parquoy y a vne partie des delectations fin de tout amour, & toutes sont fin du desir : & se met le desir ainsi qu'vn genre commun à l'amour & au non amourDu Parc Champenois, trad. : L. HébreuPhilosophie d'amour, 619 (Lyon, Rouille) - J.S.
non-amour n.m. AFFECT. 
Au 20e- TLF, cit. Montherlant, 1937.
1958 - «Et cependant ce non-amour /vis-à-vis d'Andrée/ est encore plus fort que l'amour qu'il croit éprouver pour Solange, sa maîtresse et fiancée.»MontherlantSur les femmes, 129 (Pauvert) - J.S.
parfait amour loc. nom. m. BOISSON "liqueur" - FEW (8, 237a), GLLF, 18e, d'ap. Brunot.
Au 19e - TLF, cit. Vidocq, 1828-29 ; FEW, 1874, Lar.
1823 - «Le jeudi 12 juin [...] Me Galli, commissaire-priseur, procédera à la vente des liqueurs dépendant de la faillite dudit sieur Saval-Toutain ; consistant comme suit : Rhum, kirchevaser, cassis, ratafia, menthe, genièvre, absinthe, huile de Vénus, noyau, vespétro, parfait-amour, anisette de Bordeaux, idem rouge, crême Moka, idem de céleri, cuirasseau, crème de violette, etc.» La Nacelle, n° 188, 10 juin, 4 - P.E.
propre (c'est du -) loc. phrast. non conv.  VALEUR  "par antiphrase" - L, FEW (9, 458b), GLLF, DELF, 1869 ; R, cit. Maupassant ; DG, ø d ; TLF, cit. Alain-Fournier, 1913 ; PR[77], cit. Courteline ; Lex.[75], ø d.
1830 - «M. JOLY. Ce n'est rien, mon minet. (Il tire son mouchoir de la poche de son habit et essuie le parquet.) VICTORINE. Avec votre mouchoir de poche... c'est du propre H. MonnierScènes populaires, 124 (Flammarion) - P.E.
1835 - «LE PERE. [...] Bien, c'est du propre, reprends donc vîte le petit, que je suis tout trempé... Que le diable vous emporte, toi et ton moutard !» H. MonnierScènes populaires, II, 59 (Dumont) - P.E.
propre (me/te, etc. voilà -) loc. interj. non conv. ÉVÉN. - DDL 32, 1793 ; GR[85], TLF, ø d 1808, D'Hautel, in FEW (9, 458b), GLLF et DEL, est erroné ; cf. DDL 32
1781 - «THOMAS. Falloit pas comme ça couper z'au court. De dépis ce tems-là, vous vous êtes attisés l'un l'autre dans votre ardeur ; votre tendresse est enracinée comme tous les diables. La belle avance ! La mère Simonne a' ne veut pas de toi, z'à présent. Te v'là propre. FANCHON, prête à pleurer. Eh ! mais, mon père, que voulez-vous que j'y fasse ?» [Guillemain]L'Enrôlement supposé, 10 (Cailleau) - P.E.
propre (se mettre sur son -) loc. verb. non conv. TOILETTE - ø t. lex. réf. ; absent TLF être - : FEW (9, 458a), DELF, 1773
1796 - «Mad. ANGOT [...] Les parens de M. de la Girardiere soupent ce soir ici, il faut te requinquer un peu, te mettre sur ton propre MaillotMadame Angot, 11 (Barba) - P.E.
1803 - «PLATINET. Vous voyez q' je m' suis mis sur mon propre, tout c' que j'ai d' plus callé en fait d' garderobe ; je suis sur mon quarante cinq.» Tissot et MartainvilleGeorges le taquin, 10 (Barba) - P.E.
1807 - «Se mettre sur son propre. S'endimancher [...]» [D'Hautel]Dict. du bas-langage, II, 134 (Slatkine) - P.E.
propre (ça sera du -) loc. phrast. non conv.  VALEUR  "par antiphrase" - R (s.v. mendier, ce -), cit. Zola.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1791 - «[...] ils vous chasseront, foutre ! et puis ils diront après qu'ous êtes tous morts de la clavelée : et ça sera du propre, n'est-il pas vrai ?» Le Véritable P. Duchesne f., Conseil pacifique du père Duchesne, 4 - P.E.
propre amour loc. nom. m. RELIG.  THÉOL. - FEW (9, 457b), Brébeuf et 1656, Corn. ; R, ø d ; absent TLF.
15e - «Car telles gens nayment mye leurs amys, Mais eulx mesmes, Car ils ne quierent fors leur prouffit [...] Ce signifie propre amour de soy mesmes Traité de l'amour divin, BN Fonds fr. 940, folio 151 recto - H.F.
1520 - «Encor t'ay-je monstré par ces trois le chemin de perfection, et les secrettes deceptions du diable, et le propre amour spirituel.» Trad. : Raymond de CapoueLa Vie de madame saincte Catherine de Sienne, 119 (Lyon) - H.F.
propre comme un sou neuf loc. adj. non conv. HYG. CORPS "[pour une personne], très propre" - FEW (12, 50b), GLLF, 1893, Dict. gén. ; DEL, fin 19e ; TLF, cit. Leroux, 1907 ; GR[85], cit. Malraux, 1967.
• propre comme un sou
 - FEW, GLLF, 1845, Besch. ; GR[85], cit. Hugo [1862] ; TLF, cit. Daudet, 1885.
1794 - «Pendant qu'il y rêvait, un-jour, en passant par la ruë de-la-Bûcherie, il aperçut une jeune Nymphe sans-culotes, qui passait avec sa Mère : Elle était mise en toile rouge, mais propre comme un sou (du temps qu'il y en avait).» Restif de La BretonneLes Nuits de Paris, t. 8, 1re nuit surnuméraire, 500 (Paris) - R.R.
puits d'amour loc. nom. m. PÂTISS. - TLF, 1733, Vincent La Chapelle ; L, ø d.
*1735 - Cuisinier mod., II - F.R.-R.S.
Compl.FEW, PR[67] (1750) :
*1750 - «Gâteau de puits d'amour Dict. des aliments, II, 88 - F.R.-R.S.
temple de l'Amour loc. nom. m. ÉROT.  "vagin" - FEW (13/I, 180a ; temple d'amour), 1888 ; absent TLF.
1791 - «[...] le monstre [...] ferme, au moyen d'une couture, l'entrée du temple de l'Amour [...]» SadeJustine, 400 (Pauvert, 1955) - R.R.
viole d'amour loc. nom. f. INSTR. MUS. - FEW (14, 367b), 1743, Trév. ; L, DG, PR[73], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1703 - «Viole d'amour, espèce de viole qui avait six chordes d'acier ou de laiton [...] que l'on faisait sonner avec un archet à l'ordinaire.» BrossardDict. de musique - Wright-M.R.
1740 - «La viole d'amour, c'est une espèce de dessus de viole qui a six chordes d'acier ou de laiton, comme celles du clavessin, et que l'on fait sonner avec un archet à l'ordinaire.» Dict. univ. de Trévoux
violon d'amour loc. nom. m. INSTR. MUS. - FEW (14, 368a), 1812, Mozin ; L, ø d ; absent TLF.
1767 - «Le Rebap, (instrument turc) ou violon d'amour est fait d'une coquille de coco. Le dessus de sa circonférence se couvre d'une peau ou vessie très fine et transparente [...] Cet instrument a trois cordes de soie torse.» BlainvilleHist. de la musique, 59 - Wright-M.R.
1776 - «Le violon de cette planche est appellé violon d'amour. Il ne diffère du premier que par quatre cordes de métal qui sont placées immédiatement sous celles de boyau et, sans être nullement touchées par l'archet, rendent un son assés doux et augmentent beaucoup l'harmonie des autres cordes.» BonanniDescription des instruments, 131 - Wright-M.R.
vive l'amour ! loc. interj. EXCLAM. - TLF, 1560, Grévin ; GR[85], ø d.
1539 - «Fy de l'honneur, vive la vie, / Vive l'amour, vivent les Dames.» C. MarotL'Enfer, les coq-à-l'âne, les élégies, 35 (Champion) - P.E.
*1561 - «L'ADVOCAT, seul. Vive l'amour et l'amoureux, / Qui pour un amour désireux / Et pour tout le passé torment / A receu le contentement !» J. Grévin, Les Esbahis, in J. GrévinThéâtre complet et poésies choisies, 173 (Garnier) - P.E.
*1609 - «Surtout vive l'amour ! et bran pour les sergens !» RégnierOeuvres complètes, 156 (Didier, STFM) - P.E.