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amarrer v.intr. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Un amarrage efficace exige la présence d'une saillie faisant bec ou crochet, alors que celle-ci n'a pas besoin d'être aussi fortement recourbée pour se prêter à l'emploi de la méthode directe. Ajoutons qu'il vaut mieux n'être pas amarré que de l'être mal et surtout que d'accorder une confiance injustifiée à la stabilité de la boucle d'ancrage.» Man. d'alpinisme, 86 - C.T.
1947 - «Nous fûmes bientôt amarrés sous ce toit ; Francis le franchit en belle escalade libre, une fissure très pénible suivit, et je rejoignis bientôt mon camarade sous une dalle surplombante très rébarbative.» La Montagne, numéro 337, juill.-sept., 58 - C.T.
amarrer (s'-) v.pron. ALP. - TLF, cit. Peyré [1939].
1886 - «Gaspard s'amarre comme il peut, et, semblable au pilote, la corde en main, il ordonne la descente, qui s'effectue successivement pour chacun de nous avec des glissades peu agréables, malgré la plus sage lenteur.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1885, 55 (Paris) - C.T.
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