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amarrage n.m. ALP. - In Ga [1970] ; absent TLF.
1934 - «Un amarrage efficace exige la présence d'une saillie faisant bec ou crochet, alors que celle-ci n'a pas besoin d'être aussi fortement recourbée pour se prêter à l'emploi de la méthode directe. Ajoutons qu'il vaut mieux n'être pas amarré que de l'être mal et surtout que d'accorder une confiance injustifiée à la stabilité de la boucle d'ancrage.» Man. d'alpinisme, 86 - C.T.
1930 - «C'est-à-dire, qu'il y a de très larges dalles avec des fissures et des saillies, et bien que les plus petites prises fussent suffisantes pour se tenir et même pour grimper, les points d'amarrage, de quelque genre que ce soit, étaient rares, et par conséquent il fallait prendre des précautions tout à fait spéciales.» R. alpine, vol. 31, numéro 3, 91 - C.T.
1967 - «La technique d'escalade fut la suivante : dans la première cordée, le premier, n'ayant pas de sac, équipe les passages. Le second avec un sac, enlève les pitons de progression laissant ceux nécessaires à l'amarrage de cordes fixes qu'il place lui-même.» La Montagne et alpinisme, numéro 63, juin, 89 - C.T.
amarrage (point d'-) loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «C'est-à-dire, qu'il y a de très larges dalles avec des fissures et des saillies, et bien que les plus petites prises fussent suffisantes pour se tenir et même pour grimper, les points d'amarrage, de quelque genre que ce soit, étaient rares, et par conséquent il fallait prendre des précautions tout à fait spéciales.» R. alpine, vol. 31, numéro 3, 91 - C.T.
1962 - «L'équipement de ces parties d'arêtes horizontales est très difficile, car les points d'amarrage ne peuvent être obtenus qu'en ceinturant les parties hautes de l'arête avec d'énormes anneaux de cordelette.» La Montagne et alpinisme, numéro 39, oct., 273 - C.T.
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