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alouette n.m. arg. ARG. RELIEURS - FEW (24, 292a), v. 1780.
Corr. et compl.E, TLF (av. 1782)
1747 - «[...] un Aloüette* [...] * Terme usité parmi les Relieurs pour exprimer un Compagnon qui n'est pas fils de Maître.» La Misère des apprentifs relieurs, 9 (Impr. Bullot) - P.E.
alouette n.f. CUIS. - alouette sans tête : TLF, FEW (24, 292b), 1962 ; GR[85], ø d.
1880 - «[...] des rôtis d'alouette [...]» Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 44 (Les Belles Lettres, 1945) - G.M.-D.
1887 - «Tous, le nez tourné vers la poêle, où se rissolaient les alouettes, flairaient la bonne odeur.» Zola, La Terre, in Zola, Les Rougon-Macquart, t.4, 403 (Fasquelle-Gallimard, 1966) - G.M.-D.
alouette du savetier loc. nom. f. non conv. CUIS. "dinde" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1808 - «Si la Dinde est [...] privée de cet accompagnement [les truffes], l'on n'en parle qu'avec mépris ; et nos dédaigneuses petites maîtresses ne la désignent que sous le nom contempteur d'alouette du savetier.» Grimod de La Reynière, Man. des Amphitryons, 33 (A.M. Métailié, 1983) - P.R.
tête d'alouette n.f. rég. VITIC. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1723 - «On apele tête d'aloüete la partie de la souche qui étant entièrement ou en partie dessechée, devient inutile, & même nuisible à la vigne ; c'est pourquoi un vigneron qui taille proprement, coupe pour l'ordinaire sur son sabot toutes les têtes d'alouëtes qu'il trouve dans la vigne lorsqu'il la taille.» J. Boullay, Manière de bien cultiver la vigne - R. L. rom., 38, 488.
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