| ![]() ![]() ![]() ![]()
acceptation du roi loc. nom. f. HIST. RÉVOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - «Action d'agréer une chose qui nous est offerte ou présentée, En terme de législation, c'est l'acte par lequel le roi accepte un décret du corps législatif [...] L'acceptation du roi diffère de sa sanction ; la première suffit pour les décrets constitutionnels [...]» Gautier, Dict. de la Constitution , (s.v. acceptation) (Paris) - LTP
non-acceptation n.f. PSYCHANAL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. emploi gén. : TLF, cit. Crèvecoeur, 1801.
1926 - «La non-acceptation du père implique la non-acceptation d'une autorité quelconque. Chaque association entre deux individus nécessite la capacité du psychisme à accepter une autre individualité à côté de soi, à la laisser vivre comme on a appris à le faire avec la mère.» R. Laforgue, Schizophrénie et schizonoïa, Rapport, Genève, 1er août, in R. fr. de psychanal., 1ère année, numéro 1, 13 (1927) - M.C.
|