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abréaction n.f. PSYCHANAL. - Rs, av. 1950 ; TLF, cit. Choisy, 1950 ; Lex.[75], v. 1950 ; PR[77], 1951 ; GLLF, mil. 20e.
Add.DDL
*1950 - «Réapparition, à la conscience, d'une émotion passée oubliée ou maintenue dans le subconscient par des barrages psychiques.» Garnier et Delamare, Dict. des termes techniques de méd. (15e éd., Maloine) - J.Gh.
abréaction n.f. d'apr. all. PSYCHANAL. - DSVS[82], 1922 ; DDL 18, GR[85], 1950, Garnier-Del. ; TLF, cit. Choisy, 1950 ; Lex.[79], v.1950 ; GLLF, mil. 20e.
• Abreaction
1902 - «Breuer et Freud ont pensé que les tics, contractures, paralysies, etc., des hystériques avaient une telle origine : en outre, l'association s'étant créée dans le subconscient, il est nécessaire d'endormir le malade pour avoir des renseignements sur la façon dont a pris naissance le phénomène (psycho-diagnostic) ; on pourra alors ensuite opérer l'Abreaction par des moyens convenables, création d'autres associations, etc. (Kathartische Methode).» E. Claparède, L'obsession de la rougeur, in Arch. de psychol., t.1, 330 - M.C.
abréaction n.f. d'apr. all. PSYCHANAL. - DSVS[82], 1922 ; DDL 18, GR[85], 1950, Garnier-Del. ; TLF, cit. Choisy, 1950 ; Lex.[79], v.1950 ; GLLF, mil. 20e.
Forme fr. : 1913 - «[...] la confirmation anatomique du diagnostic clinique m'intéresse toujours vivement ; le malade pendant sa vie est donc l'objet d'une préoccupation, d'un intérêt, il est 'chargé d'affect' et à l'autopsie il y a 'abréaction' comme dirait Freud. Alors ma curiosité scientifique satisfaite, le mort perd sa valeur, devient banal, sombre dans l'oubli.» Dr V. Demole, Un cas de conviction spontanée, in Arch. de psychol., t.13, 164 - M.C.
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