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porte-épaulette n.m. non conv. MILIT. "officier" - TLF, 1885, Vallès (même texte).
1886 - «C'est qu'ils sentent, les porte-épaulettes, que l'Histoire a les yeux sur eux.» Vallès, L'Insurgé, 165 (Ed. fr. réunis, 1950) - B.N.
prendre l'épaulette loc. verb. MILIT. - TLF, ø d.
1790 - «Elles désignaient le rang parmi les anciens militaires : dans les premiers mois de notre Révolution, tous les jeunes gens prirent l'épaulette ; et à force de distinguer, elle ne distingua plus ; elle n'a aujourd'hui de valeur que dans le service.» Mr de L'Epithète, Dict. national et anecdotique , (s.v. épaulettes) (Paris) - LTP
épaulette n.f. COUTURE "bretelle" - TLF, cit. Barrès, 1903-04 ; FEW (12, 149a), GLLF, PR[77], 1930, Lar. ; R, cit. Maurois [1946] ; Lex.[75], ø d FEW présente par erreur la cit. de Maurois comme une mention isolée antérieure à 1930
1883 - «[...] les chemises [...] découvrant la poitrine le jour, ne tenant plus que par d'étroites épaulettes [...]» Zola, Au Bonheur des Dames, ch. XIV, in Gil Blas, 25 févr., 3, col. 6 - M.C.E.
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