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épaulement n.m. CONSTR. "mur de soutènement" - FEW (12, 148b), GLLF, 1755, Aviler ; L, Lex.[75], ø d. la date de 1564 dans DG, GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77], correspond au sens "déboitement de l'épaule"
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1501 - «Et premierement faut maçonner lad. masse ou espaullement de pierre de taille, portant parement du costé de la riviere et joincture de quinze piedz de large dedans l'espoisseur d'icelle masse [...]» Registres des délibérations du bureau de la ville de Paris, I, 60 (Impr. nat.) - P.E.
épaulement n.m. GÉOGR. - GLLF, 1888, Lar. ; TLF, cit. Giono, 1947 ; R, cit. Bosco ; Lex.[75], PR[77], ø d.
1837 - «[...] ces magnifiques épaulements qui, de l'autre côté, ondulent en s'abaissant depuis le cône du sommet presque jusqu'aux prairies.» R. Töpffer, Premiers voy. en zigzag, 35 (Garnier) - P.E.
épaulement n.m. GÉOGR. - GR[85], 1837 ; GLLF, 1888, Lar. ; TLF, cit. Giono, 1947 ; Lex.[79], ø d.
Add.DDL 15 (1837, Topffer)
*1868 - «Nous suivîmes la même route que dans la matinée jusqu'à l'épaulement qui sépare le glacier de Breney du lac de Szofferay [...]» Annuaire du Club alpin suisse, 65 (Bâle et Genève) - C.T.
épaulement n.m. CHORÉGR. - TLF, cit. Giteau, 1970 ; GLLF, 20e.
1820 - «Epaulement, opposition du corps [...] On peut multiplier à l'infini les poses, les attitudes et les arabesques ; car un petit épaulement de corps, des oppositions de bras [...] où le tout ensemble est heureusement combiné, doivent en produire un très-grand nombre.» C. Blasis, Traité élémentaire, théorique et pratique de l'art de la danse , 56 et 70 (Milan) - E.R.
1852 - «[la Chorégraphie] n'offre plus au lecteur qu'un dédale inextricable de chiffres dont aucun n'est consacré à l'indication si importante de l'épaulement.» A. Saint-Léon, La Sténochorégraphie ou l'art d'écrire promptement la danse, 20 (Paris) - E.R.
1895 - «Terme usité en danse pour demander à l'élève un mouvement de l'épaule prononcé dans telle ou telle direction, devant ou derrière.» G. Desrat, Dict. de la danse (Genève, Slatkine, 1980) - E.R.
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