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épastrouillant adj. non conv. AFFECT. "impressionnant" - absent TLF.
Add.DDL
*1894 - Alm. du Père Peinard, in Sainéan, Langage parisien (1920) - B.T.
*1898 - «[...] j'adore Bernard, je l'adore, tu entends ! Ah mon vieux, il est épatant !... épastrouillant !... renversant !» G. de Téramond, La Petite Zaza, I, v - B.T.
épastrouillant adj. non conv. AFFECT. "impressionnant" - DDL 2, 1894 ; absent TLF.-er : DFNC, déb. 20e
Add.DDL :
*1891 - «Il porte dans ce livre épastrouillant, le nom, d'ailleurs symbolique, de de Rays.» Verlaine, Oeuvres en prose complètes, 741 (Pléiade) - D.P.
épastrouillant adj. non conv. AFFECT. "impressionnant" - DDL 22, 1891, Verlaine ; GR[85], 1894 ; absent TLF.
1874 - «Ce qui est bon a prende n'est pas bon a rende, allez ; et mon mâtin d'onaîte gens ne rend rien du tout, et n'empêche qu'on lui dit tou de même des bel prière d'avec un enterrement épastrouillant, et voila mon mâtin parti pour le royaume des taupes en se moquant pa mal de tout les ceusse qu'il a atrapé.» A. Humbert, La Lanterne de Boquillon, n° 102, 18 janv., 27- 28 - P.E.
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