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BAPTISÉ, ÉE, part. passé et adj.
I.− Part. passé de baptiser*.
II.− Adj. Qui a reçu le baptême :
1. Corneille, il est vrai, attribue, on le voit, cette toute-puissance et ce miracle de la grâce en Polyeucte à l'effet direct du baptême, au sacrement qui lui a été conféré, plutôt qu'à une influence singulière et plus invisible, venue sans cet appareil extérieur dans un cœur déjà baptisé. Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 1, 1840, p. 134.
2. En tant qu'homme raisonnable, je ne crois pas en Dieu. En tant que chrétien baptisé, je suis bien obligé d'y croire. Montherlant, Malatesta,1946, p. 454.
Emploi subst. :
3. En effet, la vertu sanctifiante de ce sacrement [le baptême] résulte de l'acte extérieur par lequel il est conféré, sans que le baptisé coopère à sa propre sanctification par aucun acte personnel; s'il en était autrement on ne l'administrerait point aux nouveau-nés. A. France, L'Île des pingouins,1908, p. 42.
Arg. (cf. baptême C loc.). ,,Aviateur qui a fait son premier vol (avec défense de rien toucher aux commandes) en compagnie d'un moniteur``. Le baptisé descend un peu pâle (Esn. Poilu1919, p. 62).
STAT. − Fréq. abs. littér. : 381. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 313, b) 492; xxes. : a) 756, b) 633.