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ARRIÈRE-PETIT-NEVEU, subst. masc.ARRIÈRE-PETITE-NIÈCE, subst. fém.
Fils, fille d'un petit-neveu ou d'une petite-nièce :
L'héritière est une arrière-petite-nièce du mari. Bernanos, Un Crime1935, p. 787.
Rem. Attesté ds Lar. 19e− Lar. Lang. fr., DG.
PRONONC. : [aʀjε ʀpətinvø]. DG, seul dict. du xixes. à transcrire le mot, intercale une avant-dernière syll. avec [ə] muet : -ne-veu (e = ə; eu = ø).
ÉTYMOL. ET HIST. I.− Arrière-petit-neveu, 1751 (Encyclop. t. 1 : Arriere-neveu ou arriere-petit-neveu, terme de généalogie & de droit, est le petit-fils du neveu, ou fils du petit-neveu. Il est distant de la souche commune ou de son bisayeul au cinquieme degré). II.− Arrière-petite-nièce, av. 1866 (Michelet ds Lar. 19e: Charlotte Corday était l'arrière-petite-nièce de l'auteur de Cinna). Composé de l'adv. arrière* et de I petit-neveu*; II petite-nièce*.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 8.