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ENTOURER v. tr.
XVIe siècle. Dérivé d'entour.
1. Circonscrire, marquer d'une limite qui fait le tour. Entourer une ville de murailles. Entourer un jardin d'une haie. Entourer un mot d'un trait de couleur. Par ext. Envelopper, ceindre. On avait entouré d'un pansement la jambe du blessé. Entourer un paquet d'un ruban. Il lui entoura la taille de son bras. Pron. Il s'est entouré le cou d'une écharpe. Par anal. Entourer quelqu'un d'espions, de gardes du corps. • Fig. Entourer un enfant d'affection, une femme de prévenances. Entourer de soins un malade et, ellipt., entourer un malade.
2. Environner, se tenir autour de. De hautes montagnes entourent le lac. Une foule hostile l'entourait. Par anal. Il ne prête aucune attention aux objets qui l'entourent, aux objets au milieu desquels il vit. Spécialt. Former la société, la compagnie habituelle de quelqu'un. Il fait le malheur de tous ceux qui l'entourent. Être bien entouré, compter au nombre de ses familiers des gens de bon conseil. C'est un homme très entouré, que beaucoup de gens fréquentent en recherchant son amitié ou ses faveurs. Il n'est entouré que de flatteurs.
3. Spécialt. Pron. S'entourer de, réunir autour de soi, admettre dans son intimité, dans sa confiance. Il voulait s'entourer des hommes les plus habiles, les plus sages. Par méton. S'entourer de conseils. Par ext. S'entourer d'objets d'art, de livres précieux. Fig. S'entourer de précautions, de mystère, prendre beaucoup de précautions, agir secrètement.