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I. COUPE n. f.
XIIe siècle. Du bas latin cuppa, « coupe », altération du latin classique cupa, « vase en bois, tonneau » (voir Cuve).
1. Vase à boire plus large que profond, reposant sur un pied. Une coupe de cristal, d'argent, de bronze, de vermeil. Une coupe en or ciselé. Une coupe antique. Prendre une coupe en main. Verser à pleine coupe. Une coupe à glace. Une coupe à champagne. Par méton. Son contenu. Une coupe de glace. Boire une coupe de champagne. • Expr. fig. et litt. Boire à la coupe des plaisirs. Épuiser la coupe du malheur. Boire, vider la coupe jusqu'à la lie, subir jusqu'au bout l'infortune et l'humiliation. Fam. Cette fois, la coupe est pleine, la coupe déborde ! il est impossible d'en supporter davantage. • Prov. Il y a loin de la coupe aux lèvres, il y a loin du désir à sa satisfaction.
2. Par ext. Récipient de forme analogue, en porcelaine, faïence, cristal, etc., destiné à divers usages. Une coupe à fruits. Une coupe à fleurs. Par méton. Son contenu. Une coupe de fruits. • Par anal. Vasque où l'on recueille l'eau d'une fontaine. Le jet d'eau retombait dans une large coupe de marbre. SPORTS. Vase ou, par ext., objet d'art offert en trophée au vainqueur d'un tournoi, d'un championnat, d'une compétition sportive. Par méton. La compétition elle-même. Disputer la Coupe de France de football. Être éliminé de la Coupe. Gagner la Coupe Davis. Cette équipe a remporté trois fois la Coupe d'Europe. La Coupe du monde.