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CALICE n. m.
XIIe siècle, au sens 1. Emprunté du latin calix, -icis, « coupe, vase (à boire) », qui, en latin chrétien, désignait la passion ou le sang du Christ. Au sens 2 (XVIe siècle), emprunté du latin calyx, -ycis, « enveloppe de la fleur », du grec kalux.
1. ANTIQ. GRECQ. ET ROM. Coupe à boire, à bords évasés, avec ou sans pied. Un calice de vin aromatisé. Faire passer un calice de vin parmi les convives au début d'un banquet. - LITURG. CHRÉTIENNE. Vase sacré où se fait la consécration du vin dans le sacrifice de la messe. Calice d'or, d'argent, de vermeil. Fig. Par méton. Boire le calice, vivre une épreuve cruelle, se soumettre à un sacrifice. Expr. Boire le calice jusqu'à la lie, souffrir une humiliation, une douleur, un malheur dans toute son étendue.
2. BOT. Dans la plupart des fleurs, enveloppe extérieure constituée par les sépales, et recouvrant la partie inférieure de la corolle. Calice simple, double, commun. Les insectes venaient boire la rosée dans le calice des fleurs.
3. ANAT. Structure anatomique circulaire et peu profonde, dont la forme rappelle celle d'une coupe. Les calices du rein se réunissent pour former le bassinet.