| ![]() ![]() ![]() ![]() I. ÉCRIT, -ITE adj. XIe siècle. Participe passé d'écrire. ☆1. Tracé par l'écriture. Des caractères bien écrits, lisibles, bien formés. Un testament écrit de la main du signataire. Donner des preuves écrites. Un texte écrit à la plume, à la machine. Les épreuves écrites d'un examen, d'un concours ou, subst., l'écrit. Par ext. Couvert de signes graphiques. Une feuille écrite au recto. ☆2. Formulé par le moyen de l'écriture, rédigé. Étudier l'œuvre écrite d'un homme d'État. Le français écrit, par opposition au français oral. Par ext. Une partition écrite en clef de sol. DROIT. Droit écrit, par opposition à Droit coutumier, voir Droit. Procédure écrite, par opposition à Procédure orale. Conclusions écrites. ☆3. Fig. et litt. Exprimé, révélé par des signes visibles, marqué. La félonie, la franchise, était écrite sur son front. Sa détermination était écrite sur son visage. ☆4. Au passif. Être écrit, sous-entendu : dans la Bible. Il est écrit : « Tu ne tueras point. » •. Par ext. C'était écrit, cela avait été fixé de tout temps ; c'était inévitable. Il ne la reverrait plus jamais, c'était écrit. Spécialt. Ce qui est écrit est écrit, par référence à une parole de Ponce Pilate, formule affirmant l'autorité de toute espèce d'écrit. |