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UN2, UNE, art. indéf.
[Un(e) s'emploie devant un subst., dont il prend la marque en genre; il n'a pas de plur. morphol. L'art. un présuppose un ensemble d'élém. qui ne peut être vide. Cet ensemble ne peut pas non plus se réduire à un seul élém.: d'où l'impossibilité de faire commuter un avec le dans des phrases comme celles-ci: La lune se montra; la raison le commande; le président lève la séance; le plus étonnant est que...; le plus beau des quatre est...; il a l'impression que... Le fait que un présuppose un ensemble d'élém. a pour conséquence que le contenu du syntagme nom. n'est pas suffisant pour l'identification de l'obj.; le locuteur présume que l'interlocuteur n'est pas en mesure, en s'appuyant sur ce seul contenu, de dire de quel obj. précis il s'agit]
I. − [Un N désigne un « individu » (au sens logique), un élément; il est l'objet d'une opération d'extraction: un élément x est extrait de l'ensemble X des x]
A. − [Le suj. désigne une réalité nombrable]
1. [Empl. spécifique. J'ai acheté un livre pour enfants. Ce qui est dit est vrai d'un seul livre, pris sur l'ensemble des livres pour enfants. Certes, p. oppos. à le livre, ce livre n'appartient pas encore au thème de l'énoncé; il est indéterminé, mais il s'agit d'un livre précis] En arrivant dans la vigne, j'aperçus quelqu'un, un homme je crois, qui s'éloigna rapidement (Bosco, Mas Théot., 1945, p. 78).Le problème, lui a en substance rétorqué un juge [de la Cour Suprême d'Israël siégeant le 8 juin 1992], est que si cette fois vous avez un document, vous n'avez pas un seul témoignage sur ce que l'accusé pouvait bien faire dans ce camp (Le Monde, 10 juin 1992, p. 6, col. 3).
[Dans la constr. d'un univers de fiction] Au bord d'un chemin, sur un tas de hardes, un tout petit enfant, assis les jambes ouvertes, jouait avec une pomme de terre qu'il laissait parfois tomber dans sa robe, tandis que cinq femmes, courbées et la croupe en l'air, piquaient des brins de colza dans la plaine voisine (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Père Amable, 1886, p. 212):
1. Il y a des petits ponts épatants Il y a mon cœur qui bat pour toi Il y a une femme triste sur la route Il y a un beau petit cottage dans un jardin Il y a six soldats qui s'amusent comme des fous. Apoll., Œuvres poét., Poèmes à Lou, Paris, Gallimard, 1962 [1915], p. 423.
[Par procédé styl., un au lieu d'un déterm. déf. normalement attendu, provoque une distanciation et manifeste la présence du narrateur] [Jean Péloueyre] s'adressa à lui-même de pitoyables paroles: « Sors, promène-toi, pauvre Jean Péloueyre! » et il caressait de la main une mâchoire mal rasée (Mauriac, Baiser Lépreux, 1922, p. 147).
Rem. Un groupe nom. de la forme le N de un N est indéterminé. La fille d'un voisin. Au coin du sentier qui tourne en remontant à la maison que j'habite, il y a un cabaret établi dans le creux d'un arbre énorme (Nerval, Voy. Orient, Paris, Flammarion, t. 2, 1980 [1851], p. 10). À la fin d'une brûlante journée de juin 1914, j'étais assis au bord de l'Oronte dans un café de l'antique Hamah, en Syrie (Barrès, Jard. Oronte, 1922, p. 1).
2. [Empl. « potentiel »: Pierre veut épouser une Suédoise (sans en connaître une en particulier, mais parce qu'il adore les grandes blondes); l'« individu » en cause a un caractère virtuel, potentiel] Elle s'enfermait ainsi, de crainte qu'une dame de ses amies, aussi pauvre qu'elle mais aussi fière, vînt la surprendre (Alain-Fournier, Meaulnes, 1913, p. 5).
3. [Empl. générique: Les illustrations sont importantes dans un livre pour enfants. Le prédicat est valable pour un élém. quelconque de l'ensemble des livres pour enfants. Il s'agit d'une opération distributive, elle s'applique à tous les élém. pris un à un. Un signifie « un quel qu'il soit »] Quant aux « précautions » annoncées par le ministre, les Verts demeurent sceptiques, persuadés qu'une « autoroute écologique exemplaire, ça n'existe pas »! (Le Monde, 18 juill. 1992, p. 24, col. 6).
En partic.
a) [Type définitoire ou dénom.] Une baleine est un mammifère. Qu'est-ce qu'un pithécanthrope? Avant de regagner Frapesle, je regardai Clochegourde et vis au bas une barque, nommée en Touraine une toue, attachée à un frêne, et que l'eau balançait (Balzac, Lys, 1836, p. 54).
b) [Type une femme est une femme; le tour sélectionne parmi les prédications universelles possibles, un trait typique du comportement féminin: volonté de plaire, versatilité, capacité de dévouement, etc.] Chose étonnante, lui qui se montrait si profondément choqué par les chamailles des Wasselin, il ne pouvait admettre qu'une colère est une colère, un cri un cri (Duhamel, Notaire Havre, 1933, p. 124).
B. − [Par recatégorisation comptable d'un subst. massif]
[Le subst. désigne un obj.: du verre → un verre]
[Le subst. désigne une quantité mesurable: de la bière → une bière] Commander un café, une eau minérale; acheter un fromage. Il nous invitait à boire un verre dans quelque arrière-boutique de boulanger, et commandait d'autorité: « Trois thés ». « Non, je prendrai une limonade » disait Poupette (Beauvoir, Mém. j. fille, 1958, p. 328).
C. − [Le subst. est un subst. d'action]
1.
a) [Le subst. désigne un acte, un procès envisagé spécifiquement ou génériquement] Une contraction, une infiltration, un paiement, une parade, un parcours difficile, un parjure, un passage, une passe, un parrainage, un partage, une peinture moderniste, une récompense, une remontrance, un retour à la scène, une rétribution, un séjour, une sélection, une sensibilisation de l'opinion, une séparation, un service, un versement. Cette sympathie, qui permet sinon la restitution, du moins une restitution de ce qui est disparu, est de l'ordre de l'affectif, ou de l'idéologique, ou des deux ensemble (F. Furet, L'Atelier de l'histoire, 1982, p. 24).
b) [Le subst., constr. par un verbe-support, a la valeur d'un subst. d'action] Faire une bêtise, un cauchemar, un faux pas, un marché de dupe, un pas de clerc, une promenade, une sortie, un tour en bateau, une tournée, un sermon, un voyage; accomplir un exploit; commettre un crime, une imprudence; conclure un marché; exercer une pression sur qqn, suivre une cure, un régime. Vous m'étonnez, la chance doit être contre moi. Je vais me faire une réussite... une réussite express (Achard, Voulez-vous jouer, 1924, i, 3, p. 37).Nous décidâmes qu'un petit tour en bateau, avant le déjeuner, ça nous distrairait (Céline, Voyage, 1932, p. 490).
2. [P. méton., le subst. désigne une chose concr.] Un pansement, un passage, un patronage, une peinture. Rien à faire, c'est barré. Une séparation sans beaucoup d'épaisseur peut-être, mais plus résistante qu'un mur (Ramuz, A. Pache, 1911, p. 197).
II. − [Un N désigne une classe ou une sous-classe de N]
A. − [En tournure attributive]
1.
a) [Un élém. déterminé est mis dans un rapport d'identité ou d'inclusion avec un N]
[Choses] Ce monastère va devenir une papeterie (Claudel, Pain dur, 1918, p. 412).L'auto, un fort cabriolet huit cylindres, couleur havane, laminait sous ses larges pneus les flaques de boue, en jaillissements sales (Van der Meersch, Empreinte dieu, 1936, p. 7).
[Pers.] Paul est un cavalier accompli, un enseignant, un fraudeur, un héros, un imposteur, un ivrogne, un plaisantin, un sage, un salaud, un vrai saint, un serpent; cet insatisfait n'est pas un révolté. Elle restait une Marie-Antoinette au nez autrichien, au regard délicieux, conservée, embaumée grâce à mille fards adorablement unis qui lui faisaient une figure lilas (Proust, Temps retr., 1922, p. 979).Ensuite, j'ai vu le directeur: il m'a reçu dans son bureau. C'était un petit vieux, avec la Légion d'honneur (Camus, Étranger, 1942, p. 1126).
b) [Le suj. a une valeur générique, un N désigne une classe taxinomique] La baleine est un mammifère; le rhume est une maladie. Hier, je l'entendais discourir en géographie, puis poser des questions:Qu'est-ce qu'une mer? Un chœur unanime et chantant répondait:Une mer est une grande étendue d'eau salée (Frapié, Maternelle, 1904, p. 47).
2. [Comme procédé descriptif] Vous souvenez-vous qu'un soir, en revenant de Saint-Germain, je vous ai décrit Gandumas. C'est un pays beau et triste (Maurois, Climats, 1928, p. 14).
[Avec reprise du subst.] La façade principale, sur la rue de l'hospice, était une façade à perron double, noircie, à grandes fenêtres et sans grâces (Colette, Mais. Cl., 1922, p. 8).La porte du coin était une magnifique porte à deux battants (Simenon, Vac. Maigret, 1948, p. 7).
[Avec réf. à la situation] Pour des riens, il vous étrangle... C'est pas une vie (Céline, Voyage, 1932, p. 12).Ce serait un joli matin pour partir pour la chasse, déclara Gastaldi (Romains, Hommes bonne vol., 1938, p. 7).
Fam. Tu parles, vous parlez d'une, d'une... V. parler1II A 1 a.
3. [Avec un subst. qui désigne une réalité massive] Le cantal est un fromage. Le sang est un tissu, comme tous les autres tissus. Il se compose d'environ 30 000 milliards de globules rouges, et de 50 milliards de globules blancs (Carrel, L'Homme, 1935, p. 89).
B. − [Avec un compl. déterminatif ou un adj. épith.]
Rem. Le subst. peut désigner une réalité comptable: Peugeot fabrique un moteur à injection qui... (non pas un objet individuel, mais un modèle, un type). Mais cet effet de sens se réalise surtout avec des subst. qui désignent une réalité massive (une huile digeste « une sorte d'huile qui est digeste »), une réalité abstr. (un courage exemplaire « une sorte de courage qui est exemplaire »), ou encore qui entre dans des loc. verb. (il fait froid → il fait un froid terrible).
1. [Le subst. désigne une réalité massive (concr.)] Une huile végétale, une eau minérale fluorée.
En partic. [Le subst. désigne un élém. naturel ou un phénomène atmosphérique] Une eau glacée, boueuse; un air pollué; un soleil blafard, un soleil d'hiver; un vent violent. À droite, la nuit commence à cacher les collines, à gauche, descend un soleil jaune soufre (Morand, New-York, 1930, p. 5).La lumière vive, intense, aveuglante, pénètre à flots dans la chambre (...). Une lumière vive, aveuglante, une immense nappe scintillante déferle dans la chambre, bute sur les cloisons nues (Cl. Ollier, Le Maintien de l'ordre, Paris, Flammarion, 1988 [1961], p. 200).
2. [Le subst. désigne une réalité abstr. ou entre dans des loc. verb.]
a) [Le subst. désigne une propriété physique et les sensations qu'elle procure] Il fait froid/un froid de canard; il fait chaud/une chaleur à crever. L'air de la nuit circulait librement par les hautes et larges fenêtres et répandait une délicieuse fraîcheur en agitant une gerbe d'eau, jaillie d'un bassin de marbre au centre de la pièce (Barrès, Jard. Oronte, 1922, p. 18).
b) [Le suj. désigne un état physique, psychol. ou mor.] Avoir de l'appétit/un appétit d'ogre, avoir de la chance/une chance de tous les diables, avoir du charme/un charme fou, avoir confiance/une confiance absolue, avoir du courage/un courage à toute épreuve, avoir du goût/un goût sûr, avoir de la patience/une patience d'ange, avoir faim/une faim de loup, avoir peur/une peur bleue; éprouver de la tristesse/une tristesse profonde; prendre du repos/un repos mérité. Son regard exprimait une véritable détresse, l'anxiété d'une douleur physique, comme si le malheureux eût vainement cherché à suer sa haine (Bernanos, Imposture, 1927, p. 311):
2. Un jour de 1922 qu'il était en Chine (...), Albert Londres fut pris d'un doute existentiel. Que faisait-il là, dans ce pays en folie, ouvrant la fenêtre de sa chambre pour découvrir que «dehors tout était dégoûtant»? Le Monde, 19 juin 1992, p. 23, col. 1.
[En tournure exclam., un adj. qualificatif étant exclu] J'ai vu notre ami, hier, il était d'une gaieté, d'une jeunesse!... Un gamin! Oui, un vrai gosse (Blanche, Modèles, 1928, p. 4).
c) En partic. [Le subst. désigne une maladie; l'empl. de un n'est pas contraint par la détermination qualificative] Avoir un cancer, un rhume.
III. − Un(e) certain(e). V. certain1.
Prononc. et Orth.: [œ ̃], [yn], souvent [ε ̃]. Martinet-Walter 1973 [ε ̃] (10/17). Liaison en [œ ̃n-], un homme, un immense intérêt, un autre (Mart. Comment prononce 1913, p. 153, Fouché Prononc. 1959, p. 471). Dénasalisation: 1. [œn-] (Rouss.-Lacl. 1927, p. 179). Mart. Comment prononce 1913, p. 390, Grammont Prononc. 1938, p. 134, Fouché Prononc. 1959, p. 436, ne notent que [œ ̃n-]. 2. anciennement [yn-], un homme [ynɔm] (Fér. Crit. t. 3 1788, Littré). Mart., p. 390: ,,Si l'on ne dit pas u-nami, ce n'est pas une raison pour dire eu-nami``. Homon. (de une), hune. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. Devant un nom commun 1. 881 désigne un être, une chose nettement individualisés par rapport à ceux appartenant à une même catégorie fém. régime (Ste Eulalie, 22 ds Henry Chrestomathie, p. 3: Ad une spede li roveret tolir lo chief); 937-52 masc. régime (Jonas, éd. G. de Poerck, 145: et preparavit Dominus un edre sore sen cheve; 155); 2emoit. xes. masc. suj. (St Léger, éd. J. Linskill, 227); fin xes. fém. suj. (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 100); ca 1050 précède un poss. tonique (St Alexis, éd. Chr. Storey, 15: d'un son filz voil parler); ca 1100 précédé de l'art. déf. l'une meitiet (Roland, éd. J. Bédier, 1264); id. dans une phrase de tour nég., exprime une compar. péj., une estimation à une valeur dérisoire (ibid., 1666: Enprès sun colp ne quid qu'un dener l'escut vaillet; 3189; Trestuz les altres ne pris jo un guant), v. Moignet, p. 277; 2. 2emoit. xes. présente dans un récit un être particulier qui n'a pas encore paru dans un énoncé (St Léger, 55: Un compte i oth [...]; Ciel eps num auret Evrui); ca 1050 (St Alexis, 292: A la sameine qued il s'en dut aler, Vint une voiz treis feiz en la citet, Hors del sacrarie); 1130-40 (Wace, Conception N.-D., éd. W. R. Ashford, 763: Une columbe de ciel vint Sor la verge que Josep tint); 3. ca 1100 désigne un représentant quelconque, indifférent, de l'espèce à laquelle il appartient (Roland, 1827: Si l'encaeinent [Guenelun] altresi cum un urs; 3153); 4. ca 1170 au plur., associé à des subst. impliquant un tout divisible en parties, une paire un esperons; gesir sor uns degrez (Chrétien de Troyes, Erec, éd. M. Roques, 102; 374), encore relevé au xvies., v. Hug.; 5. 1534 devant un subst. qualifié par un adj. au superl. rel. une jument la plus enorme ... que feut oncques veue (Rabelais, Gargantua, XV, 8, éd. R. Calder et M. A. Screech, p. 103); 6. 1636 avec valeur d'adj. poss. (Corneille, Cid, I, 6: Il faut venger un père et perdre une maîtresse); 7. 1668 avec valeur emphatique devant un subst. qualifié par un adj. (Molière, Avare, III, 5: Voilà une belle merveille de faire bonne chère avec bien de l'argent!). B. Devant un nom propre 1. 1534 présente la pers. comme inconnue « un certain, un nommé » (Rabelais, op. cit., XVIII, 69, p. 122: allegant l'autorité d'ung Taponnus - je faulx: c'estoyt Pontanus [J. J. Pontan, humaniste ital. xves.]); 2. 1559 met en relief avec emphase ou mépris (Amyot, trad. Plutarque, Hommes illustres, Compar. d'Alcibiade avec Coriolan, 7, éd. G. Walter, t. 1, p. 522); 3. 1674 rattache une personne célèbre à une catégorie supposée de personnages comparables (Boileau, Art poétique, III, ds Œuvres, éd. Fr. Escal, 1966, p. 171: N'allez pas d'un Cynous nous faire un Artamène), v. aussi Don Juan, Harpagon, Jocrisse... V. un1. Bbg. Blanchon (J. A.). L'Art. indéf. sing. Centre Interdisciplinaire d'Ét. et de Rech. sur l'Expr. contemp. Trav. 22. Explorations ling. et styl. St-Étienne, 1978, pp. 49-56. − Carlier (A.). Généricité du syntagme nom. suj. et modalités. Trav. Ling. Gand. 1989, no19, pp. 33-56. − Corblin (F.). Indéfini, défini et démonstratif... 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