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BOUCHEMENT, subst. masc.
BÂT. Action de boucher une ouverture, un trou (cf. boucher1); résultat de cette action.
[Il s'agit le plus souvent de réparer les fissures, crevasses ou lézardes d'un mur] :
1. Sur la façade du fourneau, les vides entre les portes ou les coulisses doivent être bouchés en pigeonnage, et chaque bouchement peut être évalué 0,10 de légers ouvrages en plâtre. E. Robinot, Vérification, métré et pratique des travaux du bâtiment,t. 5, 1928, p. 69.
Plus rarement [Dans le cadre de la restauration des monuments] Fermeture d'une ouverture (porte, fenêtre) par une maçonnerie légère faite en retrait de la façade de telle sorte que l'architecture primitive subsiste (cf. Noël 1968).Le bouchement des fenêtres :
2. Des baies inutiles seront bouchées, quitte à laisser subsister un châssis vitré pour dissimuler ce bouchement. Viollet-Le-Duc, Entretiens sur l'archit.,t. 2, 1872, p. 114.
Prononc. Seule transcr. dans Littré : bou-che-man. Étymol. et Hist. 1549 « action de boucher une ouverture » (Est., s.v. bouscher) − 1867 (qualifié de ,,peu usité`` par Lar. 19e); 1965 (Rob.). Dér. de boucher1*; suff. -ment1*.