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AFFOUR(R)AGER,(AFFOURAGER, AFFOURRAGER) verbe trans.
A.− Emploi trans. Garnir le ratelier des animaux de fourrage. Affourrager les bœufs.
Rem. Attesté ds Ac. Compl. 1842, Besch. 1845, Lar. 19e, Littré, Rob., Lar. encyclop.
B.− Emploi abs. Fournir de fourrage en certaines quantités, à certaines heures :
Les animaux souffrent quand ils arrivent dans une ferme où l'on n'a pas l'habitude d'affourager de cette manière. Magne(Lar. 19e).
C.− Emploi pronom. Faire provision de fourrage. (Ac. Compl. 1842, Besch. 1845).
Prononc. ET ORTH. − 1. Forme phon. [afuʀaʒe], j'affour(r)age [ʒafuʀa:ʒ]. 2. Dér. et composés : affourée, affourragement. Cf. fourrage. 3. Forme graph. − ,,Affourager s'écrit avec un ou deux r; mais fourrage, fourrager, fourragère en prennent obligatoirement deux`` (Quillet 1965). Conjug. : nous affour(r)ageons, j'affour(r)ageais, affour(r)ageant (pour les verbes en ger, cf. abroger).
Étymol. ET HIST. − 1393 « donner du fourrage aux bestiaux » (Ménagier de Paris, I, 103 : Et quant Grisilidis au vespre revenoit et ramenoit ses bestes à l'hostel de son père, elle les affouragoit). Dér. de fourrage*; préf. a-1*, dés -er.
BBG. − Bél. 1957. − Littré-Robin 1865. − Prév. 1755.