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TÉLÉPHONE, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1809 « dispositif permettant de correspondre par la voix à distance » [ici, à l'aide de porte-voix] (E. F. Chladni, Traité d'acoustique, p. 289 ds Rob. 1985); [1836 « dispositif permettant de correspondre par des sons correspondant à un code à distance » (Langue musicale ou téléphonie, inventée par E. Sudre [...] Documents concernant les applications de cette nouvelle science d'apr. Lar. Lang. fr.)]; 2. a) 1876 « dispositif de transmission de la voix à distance par des impulsions électriques » (H. de Paville ds Journ. des Débats, 5 oct., Feuilleton, p. 1, col. 3 ds Littré Suppl. 1877); b) 1879 « appareil, poste téléphonique » (Verne, 500 millions, p. 177); c) 1879 plur. « réseau d'installations téléphoniques, gestion et exploitation de celles-ci » (Société générale des téléphones d'apr. Lar. 19eSuppl. 1890); 1902 la Poste le Télégraphe et le Téléphone (Nouv. Lar. ill.); d) 1906 coup de téléphone (G. Leroux, L'Agonie de la Russie blanche, p. 236 ds Quem. DDL t. 21); e) 1962 téléphone arabe (Lanly, p. 52). Comp. du gr. τ η ̃ λ ε « loin, au loin » et φ ω ν η ́ « son », v. télé-1et phone, -phonie. En 1876, empl. p. réf. à l'angl. de même formation telephone désignant le dispositif de A. G. Bell présenté cette année-là; le terme avait d'abord servi à désigner différents dispositifs de transmission des sons comme celui de E. Sudre ou le dispositif électrique de l'Allemand J. Ph. Reis (1834-1874) datant de 1861 et appelé en all. Telephon (NED).