PÂTISSERIE, subst. fém.
Étymol. et Hist.1. a) α) 1328 «ensemble des gâteaux, pâtés» (
Doc. ds P.
Varin,
Arch. législ. et admin. de la ville de Reims, t.2, 1
repartie, p.489: la
pastiserie la royne);
β) 1823 «préparation sucrée de pâte travaillée, cuite au four, souvent garnie de crème, de fruits...» (
Las Cases,
Mémor. St-Hélène, t.2, p.229);
b) ca 1393 «préparation, travail et cuisson de la pâte (sucrée ou salée) destinée à la confection des gâteaux ou des pâtés» (
Ménagier de Paris, éd. G. Brereton et J. Ferrier, p.187, 19:
paticerie);
2. a) 1333
ouvrier de patesserie (
Arch. Nord B 1573, fol. 105 v
ods
IGLF);
b) 1803 «commerce du pâtissier» (
Boiste);
c) 1928 archit.
supra ex. Dér. de
pâtisser*; suff.
-erie*.