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APOLOGUE, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. I.− xves. « petit récit d'un fait vrai ou fabuleux, par lequel on veut présenter une vérité instructive » (G. Tardif ds Delb. Rec. ds DG : Le premier apologue ou fable). II.− 1616-20 « apologiste » (D'Aubigné, Confessions du sieur de Sancy, [dédicace] ds Œuvres, éd. Reaume-de-Caussade, t. 2, p. 236 : un des traducteurs du Tasso, qui a choisi pour son apologue le Prince de Conty); repris par DG où il est qualifié de vieilli. I empr. au lat. apologus, « id. » Plaute, Stich., 570 ds TLL s.v., 250, 7; cf. Cicéron, Inv. 1, 25, ibid., 249, 83; empr. au gr. α ̓ π ο λ ο ́ γ ο ς « récit détaillé, narration » (Platon, Resp. 614a ds Bailly) d'où « fable » (Cependant le mot gr. ne figure pas ds Cicéron, De Orat., 2, 264, éd. Courbaud : Et ad hoc genus ascribamus etiam narrationes apologorum); II dér. de apologie* sur le modèle de analogie/analogue.