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ADMISSIBLE, adj. et subst.
Étymol. ET HIST. − 1. 1453 dr. « qui peut être admis (pers.) » (Cout. de Touraine, 179, d'Espinay ds Quem. : Et n'est plus ledit defaillant... habile ne admissible au principal de la cause); spéc. a) xvies. « qui peut être admis à une fonction (d'une pers.) » (Rec. des monuments inédits de l'hist. du tiers état, t. IV, p. 382 ds Littré : Disant qu'il ne sçait lire ni escripre, au mains [moins] beaucoup, et que partant il n'est admissible audit estat d'eschevin); b) 1885 « admis (après correction des premières épreuves) à subir les épreuves suivantes » (Gde Encyclop., art. agrégé : Une indemnité est également accordée pendant deux ans à tout fonctionnaire de l'enseignement secondaire déclaré admissible aux épreuves préparatoires); 2. 1483 « qui est recevable (inanimé) » (Arrêt, Dupuy, XCVI, 253, B.N. ds Gdf. Compl. : Choses non admissibles); 1761 « id. » (Volt., Lett., 11 avr. 1761 ds DG : Voyez si ces petits changements que je vous envoie sont admissibles). Dér. du rad. du part. passé du lat. admittere (voir admettre), suff. -ible*; le lat. médiév. admissibilis, au sens de « qui est recevable » attesté seulement au mil. du xves. (Du Cange) est plutôt un empr. au fr.