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VANADIUM, subst. masc.
CHIM. Métal gris argent, mou et ductile à l'état pur, qui existe en petites quantités dans un grand nombre de minéraux, de numéro atomique 23, de masse atomique 50,94 (symb. V). Oxyde, sulfure de vanadium; sels de vanadium ; acier au vanadium. De plus, on a constaté que le cholestérol des ouvriers travaillant ce métal baissait progressivement. Tous ces faits ont été jugés assez importants pour proposer l'utilisation courante du vanadium en thérapeutique (R. Schwartz, Nouv. remèdes et mal. act., 1965, p. 150).
REM.
Vanadine, subst. fém.,chim. Anhydride vanadique naturel. V. infra dér. ex.
Prononc. et Orth.: [vanadjɔm]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1831 (N. G. Sefström ds Ann. chim. et phys., t. 46, p. 105). Lat. sc. vanadium, nom donné à ce métal par N. G. Sefström, chimiste suéd. qui l'a découvert en 1830; cf. Ann. chim. et phys., t. 46, p. 108: ,,comme le nom est indifférent par lui-même, je l'ai dérivé de Vanadis, surnom de Freya, principale déesse de la mythologie scandinave``.
DÉR.
Vanadique, adj.,chim. [En parlant d'un anhydride et de l'acide qui en résulte] Qui est dérivé du vanadium. La vanadine ou acide vanadique (...) est une substance pulvérulente, jaune, formant des enduits sur le cuivre natif du lac Supérieur. Elle est très rare (Lapparent, Minér., 1899, p. 550). [vanadik]. 1reattest. 1831 (N. G. Sefström ds Ann. chim. et phys., t. 46, p. 109: acide vanadique); de vanadium, suff. -ique*.
BBG.Quem. DDL t. 18.