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RÉPARABLE, adj.
Qui peut être réparé.
A. − [Corresp. à réparer A 1] Une tempête a décidément détraqué le vénérable tourne-broche; il s'agit de le réparer... Eh bien, non! Il faut en prendre son parti, le tourne-broche n'est pas réparable (Viollet-Le-Duc, Archit., 1872, p. 410).Le joint doit être facilement démontable, réparable et récupérable (Chapelain, Techn. automob., 1956, p. 34).
P. métaph. On en sait trop long sur elle [Louise Labé]; sa réputation reste quelque peu endommagée, difficilement réparable (Sainte-Beuve, Nouv. lundis, t. 4, 1863, p. 301).
B. − [Corresp. à réparer B 1] Quant à mon emprisonnement, il n'a rien, j'ose m'en flatter, qui déshonore, et c'est avant tout un malheur, mais un malheur réparable, je crois (Verlaine, Corresp., t. 1, 1874, p. 137).
C. − [Corresp. à réparer B 2] Les risques accomplis (.....), à l'occasion d'actes rattachés à l'exercice de la justice comme la police judiciaire, ne sont réparables que dans des cas très limités (Belorgey, Gouvern. et admin. Fr., 1967, p. 190).
Prononc. et Orth.: [ʀepaʀabl̥]. Ac. 1694, 1718: re-; dep. 1740: ré-. Étymol. et Hist. 1. 3equart xves. clause reparable « dont on peut limiter les effets » (Georges Chastellain, Vérité mal prise ds Œuvres, éd. Kervyn de Lettenhove, t. 6, p. 330); 1475, 3 juin « à quoi on peut remédier » (doc. Arch. de l'Etat, Lucerne ds Gdf. Compl.); 2. 1690 maison reparable (Fur.). Dér. de réparer*; suff. -able*. Fréq. abs. littér.: 34.