Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
DOUBLE, adj., adv. et subst.
I.− Adjectif
A.− [Avec un subst. désignant une réalité quantitative ou mesurable]
1. Qui vaut deux fois une quantité donnée.
a) [Double est accompagné d'un compl. prép. de] Un espace, un volume double d'un autre. Encore avait-elle abattu chez nous, (...) un nombre double de victimes (De Gaulle, Mém. guerre,1959, p. 235):
1. La division de guerre et le corps d'armée mobilisés auraient ainsi des effectifs d'infanterie doubles de ceux du temps de paix. Joffre, Mémoires,t. 1, 1931, p. 8.
b) [Sans compl. prép. de] Le personnel, curieux de savoir si « l'offense » avait été perpétrée avant neuf heures du soir ou après : (...) après (...) les peines sont doubles (Morand, Londres,1933, p. 103).La tuberculination à double dose (Brion, Jurispr. vétér.,1943, p. 275).
Un double whisky; un double express. Il commanda un double cognac (Beauvoir, Mandarins,1954, p. 159).
Double(-)décimètre*; double(-)mètre*.
Loc. Mettre les bouchées* doubles.
2. P. ext. [Sans idée de quantité, avec indication de qualité]
a) Qui est meilleur, qui a plus de force. Encre double; une bière double; un consommé double. Les gens de la campagne finissaient les deux bouteilles de vin et le pain double qu'ils avaient achetés, si pauvre que fût la maison (Pourrat, Gaspard,1930, p. 54).
b) Au fig., RELIG. [Double indique le degré de solennité des fêtes] Fête double, semi-double, double-mineure. Mais à l'église le matin, fête double-majeure en or et en latin et anniversaire de tous les saints (Claudel, Corona Benignitatis Anni Dei,1915, p. 449).
B.− [Avec l'idée d'identité; double indique la présence de deux choses, deux éléments identiques ou analogues qui forment parfois un tout indissociable]
1. [Dans des syntagmes où l'adj. est précédé de à]
a) [Le nom désigne une réalité concr.] Hache à double tranchant. Je me promenais sous les galeries à double étage (Chateaubr., Mém.,t. 3, 1848, p. 409).Fourgon où l'on entrait par un escalier à double rampe (Flaub., Champs et grèves,1848, p. 405).Sans cesse le progrès, roue au double engrenage, fait marcher quelque chose en écrasant quelqu'un (Hugo, Contempl.,t. 3, 1856, p. 349).
Au fig., loc. À double tranchant. Qui présente autant d'inconvénients que d'avantages. Quelques hommes à paradoxes, (...) faisaient déjà de cette politique à double tranchant avec laquelle ils conspirent contre tous les systèmes (Balzac, Peau chagr.,1831, p. 49).
b) [Le nom désigne une réalité abstr.] Démarche à double but; des mots à double sens; fermer la porte à double tour. Fermer une cassette à double tour (Ac.). Les vices que l'on a vus (...) sont par excellence une expression oscillante et diverse, qui prête à double ou quadruple entente (Paulhan, Fleurs Tarbes,1941, p. 148).Des centrales dites à double objectif permettant des utilisations à la fois militaires et civiles (Goldschmidt, Aventure atom.,1962, p. 108).
2. [Sans la prép. à; l'adj. précède le nom]
a) [Le nom désigne une réalité concr.] Un double nom; une double file de cavaliers; une double haie de groseilliers; double colonnade. Même si le régime de la double monarchie reste debout, l'Autriche sera affaiblie pour longtemps (Martin du G., Thib.,Été 14, 1936, p. 231).Au delà de la double barrière de barbelés du camp de prisonnier (Gracq, Beau tén.,1945, p. 103).
Spécialement
Double flûte. Flûte formée de deux flûtes accolées en V. L'une jouait de la harpe, l'autre de la mandore, la troisième de la double flûte (Gautier, Rom. momie, 1858, p. 235).
Double menton. Plis de chair sous le menton. Femme avec un double menton de lapin russe (Renard, Journal,1902, p. 749).
Double consonne. Consonne répétée. Synon. géminée.Elles grouillaient de syllabes et de lettres, étiraient leurs diphtongues, faisaient vibrer les doubles consonnes (Sartre, Mots,1964, p. 34).
b) [Le nom désigne une réalité abstr., une action] Double tentative, interprétation, assimilation; double attaque, meurtre, suicide. Ils entendirent au-dessus de leurs têtes le double claquement du fouet (Bernanos, M. Ouine,1943, p. 1502).La pudibonderie familiale interdisant d'expliquer à des enfants ce qu'est une double ovariotomie (H. Bazin, Vipère,1948, p. 119).Vichynsky (...) observe que l'américain fait double emploi avec Tedder (De Gaulle, Mém. guerre,1969, p. 177):
2. L'histoire du droit naturel (...) illustre (...) ce double mouvement du matérialisme au formalisme et du formalisme au matérialisme. J. Vuillemin, Être et trav.,1949, p. 94.
3. [L'adj. suit le nom]
a) [Le nom désigne une réalité concr.] Une cloison cartilagineuse double (Cuvier, Anat. comp.,t. 2, 1805, p. 463).Sa machine (...) était à haute pression et mettait en mouvement une hélice double (Verne, Enf. cap. Grant,t. 1, 1868, p. 38).« L'ombre double d'un homme avec une femme » (Claudel, Soulier,1944, 2ejournée, 13, p. 762).
Spécialement
MÉD. Fièvre double. Fièvre à deux accès par jour. Fièvre double tierce continue. Une maladie de l'archevêque, une fièvre double-tierce (Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 4, 1859, p. 97).
CHIM. Sel double. Sel comportant un anion commun à deux cations. Fécondes en inductions nouvelles (...) dans des sels neutres ou acides, simples ou doubles (Pasteur, Annales chim.,t. 24, 1848, p. 442).Le « feldspath », silicate double d'alumine et de potasse, de soude ou de chaux, se présente en cristaux (Bourde, Trav. publ.,1928, p. 68).
BOT. Fleur double. Fleur dont les étamines forment comme un nouveau rang de pétales. Zinia double. Cerisier à fleurs doubles; des jacinthes, des violettes doubles (Ac.). Elle refusait régulièrement aussi de prêter géranium doubles, pélargoniums, lobélias, rosiers nains et reines-des-prés aux reposoirs de la Fête-Dieu (Colette, Sido,1929, p. 36).
ASTRON. Étoile double. Ensemble formé par deux étoiles gravitant l'une autour de l'autre. Il confirma qu'il s'agissait d'une étoile double spectroscopique (Hist. gén. sc.,t. 3, vol. 2, 1964, p. 560).On sait le rôle considérable joué par cette relation [masse-luminosité] dans les recherches sur les étoiles doubles (Hist. gén. sc.,t. 3, vol. 2, 1964p. 575).
COMPTAB. Partie double (en). En deux parties. Julien lui proposa de prendre un commis sortant de chez un banquier, et qui tiendrait en partie double le compte de toutes les recettes (Stendhal, Rouge et Noir,1830, p. 274).
TECHNOLOGIE
Échelle double. Échelle composée de deux échelles pouvant coulisser. Il (...) attaquait les grands arbres avec l'échelle double (Duhamel, Terre promise,1934, p. 116).
Feuille double. Feuille d'un format standard pliée en deux. L'enveloppe contenait une feuille double (Martin du G., Thib.,Été 14, 1936, p. 382).
Rem. Double s'emploie en composition pour former de nombreux mots désignant des outils ou des instruments reproduisant deux fois (en tout ou en partie) l'instrument simple : double brabant, double clef, double étagère, double pagaie, double porte, double poulie, etc.
b) [Le nom désigne une réalité abstr.] Faire coup* double. Ici une naturelle et double question. (...) Que décrit-on? et pourquoi? (Valéry, Corresp.[avec Gide], 1893, p. 178).Ma recherche eut d'abord un objet double : le sacré, puis l'extase (G. Bataille, Exp. int.,1943, p. 128).Bref, un bénéfice double. Un bénéfice pour vous, un bénéfice pour l'humanité (Queneau, Loin Rueil,1944, p. 123):
3. C'est là que commença ma méprise. Méprise double; car dès lors elle la fit se méprendre sur moi plus encore que je ne me méprenais sur elle. Gide, Et nunc manet in te,1951, p. 1132.
4. [Emploi attribut] Et le délit s'aggrave (...). Il est double : contre les muses, contre la France et contre l'humanité (Larbaud, Journal,1934, p. 287).Tout organisme de ce genre peut être considéré comme double : il comprend une partie caduque, périssable, (...) une autre vivace (J. Rostand, La Vie et ses probl.,1939, p. 112).
C.− Au fig. [Avec l'idée de duplicité] Qui a deux aspects dont un seul est connu. Mener une vie double. Et cela lui donnait une expression double, pénétrante et dominatrice (Vercors, Silence mer,1942, p. 13).Ainsi nous menions une double vie : le jour aux champs (...) et la nuit, dans le mas, (...) dans l'attente des sortilèges (Bosco, Mas Théol.,1945, p. 143):
4. Tantôt la vie maintient plus ou moins mêlées entre elles les deux tendances contradictoires à la raison : elle nous force à admettre des états à double visage, ... Mounier, Traité du caractère,1946, p. 65.
Spécialement
Agent double. Espion travaillant à la fois au profit de deux puissances hostiles. Vous figurez-vous aussi qu'on m'achète comme on achète les agents doubles, comme j'en ai acheté moi-même des dizaines? (Abellio, Pacifiques,1946, p. 70).
Loc. Jouer (un) double jeu. Jouer sur deux tableaux. Il veut sauver sa peau. Si les alliés gagnent, il veut pouvoir dire qu'il jouait double jeu (Sartre, Mains sales,1948, 2etabl., 4, p. 51).
II.− Adv. Deux fois autant. Parier, payer double. Près de lui, tout devenait important, ça semblait un grand privilège de vivre, et on vivait double (Beauvoir, Mandarins,1954, p. 220).
Voir double. Voir deux choses là où il n'y en a qu'une. Pourquoi çà? fit le petit prince. − Parce que les ivrognes voient double (Saint-Exup., Pt Prince,1943, p. 457).
Loc. En double. En deux exemplaires. Les chercheurs qui étaient conduits parfois à faire certains travaux en double (Goldschmidt, Aventure atom.,1962, p. 39).Replié en deux. Mettre un fil, une serviette en double.
III.− Subst. masc.
A.− [L'accent est mis sur la quantité] Quantité qui équivaut deux fois à une autre. Payer le double d'un prix. Plus du double (Ac.). Me venger. Sur elle. Plus que tu ne m'as jamais vengée. Le prix sera le double (Giraudoux, Lucrèce,1944, I, 10, p. 80).L'équipage peut varier (...) dans des proportions allant presque du simple au double (M. Benoist, F. Pettier, Transp. mar.,1961, p. 15):
5. − Nous pourrions peut-être prendre en location cet appartement vacant, l'appartement voisin. Pense : le double de place! Duhamel,Chronique des Pasquier, Le Notaire du Havre,1933,p. 103.
Loc. Jouer à quitte* ou double (Ac.). Le monde parlementaire [de l'affaire du Panama] sent qu'il n'est plus maître de rien, qu'on le joue décidément quelque part, à quitte ou double (Bernanos, Gde peur,1931, p. 275).
Spéc., HIST. Ancienne monnaie de cuivre valant deux deniers. Donner un double; double tournois (Ac).
B.− [L'accent est mis sur l'identité]
1. [En parlant d'objets] Chose identique à une autre sur un aspect précis. Conserver le double d'un document. Synon. duplicata, réplique, doublet, copie; anton. original.Une dame étrangère, m'a dernièrement envoyé le double d'un long article qu'elle a écrit pour une revue (Green, Journal,1945, p. 217):
6. ... faites-lui une autorisation, que je signerai, pour qu'il puisse faire copier d'urgence dans tous les bureaux les pièces dont il faudra les doubles au secrétariat particulier. Stendhal, L. Leuwen,t. 2, 1835, p. 418.
P. anal., ARTS DU SPECTACLE. ,,Acteur ou actrice qui remplace les chefs d'emploi dans leur rôle`` (Ac.). Cet acteur n'est qu'un double; la pièce a été jouée par des doubles (Ac.). Synon. doublure.
2. P. ext. Reflet de quelqu'un; apparence ou être identique à une personne. Synon. sosie.Ce double, elle l'incarne dans une personne présente (Janet, Obsess. et psychasth.,1903, p. 59).Le jeune poète de dix-huit ans s'invente un double ironique dans cet amoureux délaissé (Brasillach, Corneille,1938, p. 49).Et d'ailleurs si pareil à lui que Hakem peut le prendre pour son double (Durry, Nerval,1956, p. 123):
7. ... l'héritier futur de la couronne n'était qu'un pâle reflet, le double, du petit frère d'Elena que nous attendions tous... Cendrars, Bourlinguer,1948, p. 240.
Spécialement
ANTIQ. [Dans la religion de l'ancienne Égypte] Image impalpable du mort supposée rester auprès du cadavre aussi longtemps que le corps n'était pas détruit (d'apr. Rob.). Ne jouera-t-elle pas ainsi ce rôle de double que la magie, dans la préhistoire, et que la religion, en Égypte, lui conféraient déjà? (Huyghe, Dialog. avec visible,1955, p. 252).
OCCULT. Fantôme d'une personne. Ses spectres, ses vampires, ses doubles, sont nés de la fièvre (Béguin, Âme romant.,1939, p. 260).Un seul jour, j'ai senti le monde délivré de ces présences et de ces doubles infernaux (Giraudoux, Ondine,1939, III, 3, p. 183).
P. anal.
[D'une image] Qui me rejettera étreignant dans mes bras, Tel une image égale à son double en la glace (Montherl., Encore inst. bonh.,1934, p. 732).
[D'une chose] Rare. Et je n'en voyais, semblait-il, ni les murs réels, ni les fenêtres, mais leur double émané du bois et des pierres dont elle est construite (Bosco, Mas Théot.,1945, p. 106).
Spéc., MUS., vx. Double d'un thème. Composition sur un thème ne comportant que de faibles variations par rapport à une autre composition.
C.− Emplois spéc. [Désigne qqc. qui est composé de deux choses analogues]
1. Arg. milit., vx. Sergent-major (à cause de son double galon). Synon. doublard.,,Le plus grand souci du double est de trouver un fourrier qui sache écrire pour deux (A. Foubert, le 39ed'artillerie)`` (France1907).
2. HIPPISME. Obstacle de jumping combinant deux obstacles rapprochés (d'apr. Saint-Riquier-Delp. 1975).
3. TENNIS. Jeu qui se pratique à deux joueurs dans chaque camp. Double messieurs, double dames, double mixte; anton. simple. Le meilleur match a été le double gagné par Borotra-Cochet contre les jeunes Anglais Wilson et Becker (Combat,19-20 janv. 1952, p. 6, col. 5).
P. méton. Équipe de deux joueurs qui joue en double. On a reformé le double Borotra-Brugnon (Paris-Sport,17 juin 1933ds Grubb, Fr. sp. neol., 1937, p. 34).
4. ART CULIN. Double d'agneau. Paire de gigots d'agneau. Double, gras-double* (gras est adj.). Espèce de tripe qui provient du premier ventricule des ruminants.
Prononc. et Orth. : [dubl̥]. Rouss.-Lacl. 1927, p. 126 classe la voyelle de double comme ,,moyenne``, à côté de la voyelle de il adoube, radoube, en dépit de l'influence allongeante du segment ou du groupe consonantiques finals, ,,qui portent (...) i, y, u à se fermer``. Ds Ac. dep. 1964. Étymol. et Hist. I. Adj. 1. Fin xes. dobpla « qui est répété deux fois, qui égale deux fois quelque chose » (Passion de Clermont-Ferrand, éd. D'Arco Silvio Avalle, 75 : dobpla corda); 2. a) ca 1210 « qui fait preuve de duplicité » (Guillaume Le Clerc, Bestiaire, éd. R. Reinsch, 1629 : Home doble); b) 1657-62 « qui a deux aspects, dont un seul apparaît » (Pascal, Pensées, XIV, 58, éd. Brunschvicg ds IGLF : double sens); 3. fin du xvies. exprime l'intensité, la grandeur (Froissart, Chroniques, L. 1, § 315, éd. S. Luce, t. 4, p. 69 : de doubles roncins et de gros palefrois); 1551 double bier (Poppe, p. 100); 1655 (Molière, L'Étourdi, III, 4 : double bourreau). II. Subst. A. 1. a) Ca 1150 duble « quantité qui vaut deux fois une autre » (Lois de Guillaume, éd. J. E. Matzke, 2 : a duble [ici loc. adv. : « au double »]); ca 1170 loc. adv. au double (Floire et Blancheflor, éd. M. M. Pelan, 1111 [var. ms. début xiiies.]); 1461 en double (J. de Roye, Chron. scandaleuse, éd. B. Mondrot, p. 20 ds IGLF); 1960 adv. double (Fur.); b) 1340 « nom d'une pièce de monnaie » (Arch. adm. de la ville de Reims, II, 833, Varin ds Gdf.); c) ca 1465 jouer à quitte et à double (Le Jouvencel, fo83 ds La Curne); d) 1929 sp. terme de tennis (Lar. 20e); 2. dernier quart du xives. « épaisseur formée par deux parties repliées d'une chose » (Froissart, Chron., XI, 22, éd. S. Luce ds IGLF : toille doublée en trois doubles); 3. a) 1406 « chose semblable à une autre » (N. de Baye, Journal, I, 165, ibid. : la copie ou double d'icelle [épître]); b) 1771 théâtre, « doublure » (Trév.); c) 1831 occult. (Balzac, Peau chagr., p. 182 : j'allais, comme le double d'un Allemand, revenir à mon logis d'où je n'étais pas sorti); d) 1832 « alter ego, personne qui ressemble à une autre » (Balzac, Bourse, p. 410). B. 1. xves. « panse des ruminants » (Eloy d'Amerval, Livre de la Deablerie, 151 b, éd. Ch.-F. Ward ds IGLF : Une orde tripierre aussi En vendant du foye ou du double); 2. 1883 mar. « deuxième ration de vin » (Loti, Mon frère Yves, p. 331). I du lat. class. duplum « le double, deux fois autant ». II du lat. class. duplus « double, deux fois aussi grand »; le sens 2 est exprimé en lat. par duplex. Fréq. abs. littér. : 5 885. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 8 690, b) 7 708; xxes. : a) 8 015, b) 8 661. Bbg. Copie, double... Actual. terminol. 1974, t. 7, pp. 1-2. − Gottsch. Redens. 1930, p. 290, 335. − Grundt (L.-O.). Ét. sur l'adj. invarié en fr. Bergen-Oslo-Franso, 1972, pp. 389-390. − La Landelle (G. de). Le Lang. des marins. Paris 1859, p. 317. − Sain. Lang. par. 1920, p. 530, 534; Sources t. 2 1972 [1925], p. 284.