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CONSOLATIF, IVE, adj.
Peu usité. [En parlant d'une pers. ou d'une chose abstr.] Qui est de nature à apporter un réconfort moral, qui peut consoler. Vertu consolative. Cet homme n'est pas consolatif (Ac. 1798-1878). Allons, il n'y avait plus qu'à m'en aller comme j'étais venu, non sans avoir offert auparavant de vagues propos consolatifs (Estaunié, Solitudes,1917, p. 25).
Rem. Ce mot, attesté ds la plupart des dict. gén. des xixeet xxes., n'apparaît cependant pas ds Pt Lar. 1906, Ac. 1932, Rob. et Lar. encyclop. Rob. s.v. consolant, le donne comme vx. La docum. indique pourtant qu'il est repris par qq. aut. du xxes. pour qualifier des inanimés abstraits.
Prononc. et Orth. : [kɔ ̃sɔlatif], fém. [-i:v]. Ds Ac. 1798-1878. Étymol. et Hist. xives. « qui console » (Mir. de N.D. par personnages, éd. G. Paris et V. Robert, II, 264), considéré comme fam. et rare par la lexicogr. des xviiie-xixes. Empr. au b. lat. consolativus « qui a pour but de consoler ». Fréq. abs. littér. : 1.