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CHEVELÉ, ÉE, adj. et subst. fém.
I.− Adj., HÉRALD. Dont les cheveux sont d'un émail particulier. D'argent à la tête de more chevelée de gueules (Lar. 20e),tête d'argent chevelée de sable (Quillet1965).
Rem. Attesté ds Ac. 1835.
II.− Subst. fém., BOT. [P. anal. entre les racines et une chevelure] Marcotte qui a pris racine.
Spéc., VITIC. Plant de vigne, enlevé de la pleine terre et qui présente une grande quantité de racines. Lorsqu'on plante des chevelées nues (...) il convient (...) de ne coucher chaque fois que 0 m 35 de sarment (A. Du Breuil, Culture des arbres et arbrisseaux à fruits de table,1876, p. 516).
Prononc. et Orth. : [ʃ əvle]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. A. Adj. 1. 1337 estoile chevellée (Chron. Fr., ms. de Nangis ds La Curne, s.v. chevelu) − 1520 (Michel de Tours, trad. de Suetone, X, 258 vods Hug.); 2. xvies. iconographie ou hérald. (Voy. d'A. de Foix, fo6 ds Gdf.). B. Subst. 1701 bot. (Liger, La Nouvelle maison rustique, II, p. 461 d'apr. Brunot t. 6, p. 204, no12). Dér. de l'a. fr. chevel (cheveu*); suff. *.