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suif n.m. arg. , non conv. RELAT. "réprimande" - GLLF, DFNC, GR[85], DArg., 1855 ; FEW (11, 359a), 1861, Larch. ; L, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1834 - «Si vous n'aviez pas été si brutal, nous serions déjà à bord, ou vous courez risque d'attraper un suif pour punir vos lenteurs, et moi des taloches pour guérir mon oreille [...] Le capitaine lui donna le suif qu'avait prédit le malicieux enfant [...]» Chevalier, in R. maritime , I, 210 et 213 - P.E.
*1845 - «Le commissaire s'empressa dès lors de faire relâcher la Mayeux, son couvert, ses bottes et son parapluie ; puis il administra ce qu'en terme gouvernemental on nomme un suif au sergent de ville qui avait eu le tort d'empoigner si légèrement une jeune fille innocente [...]» Philipon et HuartParodie du Juif errant, 100 (Aubert) - P.E.
suif n.m. arg. , non conv. "par ext." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1844 - «LA VICOMTESSE. Est-ce que M. le baron gardera sa fabrique de chandelle quand il sera receveur-général ? LA BARONNE. Fi donc ! il n'y a pas mèche, il la fera gérer par son fils. M. MATOU, en riant. Ce sera convenable : receveur-général et fabricant de chandelle, ça ne prendrait pas, et les petits journaux carlistes, LA MODE surtout, pourraient bien lui donner un suif. (Tout le monde rit.) M. FABRICHON DE VERDIERE. Le jeu de mots est charmant [...]» J.T. Merle, in La Mode, 25 mars, 508 - P.E.