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situasse n.f. abrév. de situationnon conv. ÉVÉN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1962 - «Mais il était souple, il savait retourner les situasses les plus glandilleuses.» Boudard, La Métamorphose des cloportes, 171 (Livre de Poche) - K.G.
1963 - «Ce culot ! Il profite de la situasse [...]» Boudard, La Cerise, 249 (Plon) - K.G.
1977 - «Chomedu, c'est pas une situasse.» Caradec, Dict. du fr. arg. et pop. (Larousse) - K.G.
situasse n.f. abrév. de situationnon conv. ÉVÉN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
• situass - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1963 - «[...] avec une jolie situass dans les savonnettes ! Une petite marque dont elle est propriétaire [...]» Boudard, La Cerise, 199 (Plon) - K.G.
situasse n.f. abrév. de situationnon conv. ÉVÉN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
• situaze - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1974 - «[...] une situaze de vengeance [...]» Thérame, Hosto-blues, 295 (Ed. des Femmes) - K.G.
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