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enlever : enlevez, c'est pesé ! loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - BEI, 1830, E. Debraux ; GLLF, 20e ; DEL, ø d ; absent TLF.
• enlevez, c'est payé - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1838 - «Mme GIBRALTAR, reprenant sa première place. Nà, c'est fini, enlevez ! c'est payé.» Cogniard frères et Muret, Les Coulisses, 15b (Magasin théâtral) - P.E.
enlever : enlevez, c'est pesé ! loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - BEI, 1830, E. Debraux ; GLLF, 20e ; DEL, ø d ; absent TLF.
• enlevé, c'est pesé - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1842 - «(Il se retire vivement ; Rosalie glisse la lettre dans la poche du tablier de Rosamonde, sans que celle-ci s'en aperçoive.) ROSALIE. Dans la boîte aux lettres. GRINGALET, à part, enlevant adroitement le billet. Enlevé, c'est pesé.» Dumersan et Dupeuty, Gringalet fils de famille, 18b (Impr. Lacombe) - P.E.
1853 - «Une... deussse... troisse... enlevé, c'est pesé !» E. Martin, Collégiens, étudiants et mercadets pour rire, 75 (Giraud) - P.E.
pesé (tout bien -) loc. adv. ACTION "après réflexion, en fin de compte" - TLF, DEL, DHR, 1738, Rollin ; GLLF, cit. Romains.
1599 - «Car si tout bien pesé, nous considerons quels sont les progrez, de la suffisance de nostre esprit : en ce qu'il cognoist et ignore des choses de ce monde : nous n'y trouverons rien en fin [...].» H. de La Popelinière, L'Histoire des histoires, I, 13 (Fayard, 1989) - P.E.
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