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billet de parterre (prendre un -) loc. verb. non conv. DÉPLAC. "tomber" - FEW (13/I, 249a), GLLF, TLF, 1842, Compl. Acad. ; BEI, DArg., 1847, Balzac ; L, ø d ; GR[85], cit. Vallès, 1881 ; DEL, ø d.
1838 - «BLOQUET, trébuchant. Hein ? qu'est-ce que c'est ? qu'est-ce qui m'a passé entre les jambes ? [...] un peu plus je prenais un billet de parterre, sans droits. Quel démon vous avez engendré là, mère Gibraltar !» Cogniard frères et Muret, Les Coulisses, 2 (Magasin théâtral) - P.E.
1841 - «JOSEPH. Ils n'ont pas plus tôt été dehors de la ville ; près du parc à M. de la Cuiderie, que voilà mon cabriolet, mes deux hommes et tout le bataclan qui vous prennent un billet de parterre dans la marre aux tilleuls, tant de tués que de blessés y a personne de mort.» H. Monnier, Scènes de la ville et de la campagne, II, 342 (Dumont) - P.E.
travailler le parterre loc. verb. arg. ARG. THÉÂTRE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1781 - «Ce parterre, assez heureusement travaillé, ce qui est le terme honnête des faiseurs de cabales, a appellé l'Auteur à tue-tête.» Corresp. litt. secr., 19 déc., n° 51 - Proschwitz, 164.
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