Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
habit à queue de morue loc. nom. m. VÊT. - L, R, ø d ; absent TLF.
1833 - «Il donna un coup de poing dans son tuyau de poêle [son chapeau], jeta son habit à queue de morue, et jura, sur son âme, qu'il ne le remettrait de sa vie [...]» Th. Gautier, Daniel Jovard, in Th. GautierLes Jeunes-France, 88 (Charpentier, 1873) - M.C.E.
1839 - «Queue de morue, se dit des pans de l'habit ou du frac, lorsqu'ils sont étroits vers l'extrémité. Habit en queue de morue ou à queue de morue Complément Acad.aussi dans Bescherellle, 1846 - M.C.E.
1842 - «Des habits dits autrefois à queue de morue [...]» E. SueLes Mystères de Paris, IV, ch. IX, t. IV, 142 (Gosselin) - M.C.E.
habit à queue de morue loc. nom. m. VÊT. - L, R, ø d ; absent TLF.
• habit en queue de morue
 - L, FEW (2, 525b), 1868 ; DG, R, PR[77] (habit queue de morue), ø d ; absent TLF.
1839 - «Queue de morue, se dit des pans de l'habit ou du frac, lorsqu'ils sont étroits vers l'extrémité. Habit en queue de morue ou à queue de morue Complément Acad. - M.C.E.
1841 - «L'habit, couleur cannelle, se recommandait au caricaturiste par une longue queue qui, vue par derrière, avait une si parfaite ressemblance avec une morue que le nom lui en fut appliqué. La mode des habits en queue de morue a duré dix ans, presque autant que l'empire.» Balzac, Une Ténébreuse affaire, ch. II, in Le Commerce, 16 janv., [1ère page], col. 1 - M.C.E.
1846 - BescherelleDict. - M.C.E.
huile de foie de morue loc. nom. f. PHARM. - L, GLLF, 1866 ; TLF, cit. Bariéty, Coury, 1963.
1835 - «Note sur l'emploi de l'huile de foie de morue, dans quelques obscurcissemens de la cornée.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, VI, 553 - C.H.
1839 - «M. le docteur Taufflieb a publié [...] un Mémoire contenant plusieurs observations de carie scrofuleuse guérie par l'huile de morue. [...] Un jeune homme d'une constitution scrofuleuse éprouva, vers la fin de l'été 1836 les symptômes de la carie vertébrale [...]. Au mois de février 1837, il était réduit à un tel état de marasme qu'on craignait une mort prochaine. Ce fut alors qu'il prit l'huile de foie de morue à la dose de quatre cuillerées par jour.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, X, 533-4 - C.H.