Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
méta n.m. abrév.  de métaldéhyde [n. de marque]CHIM. ORG. - TLF, 1924 ; GLLF, Lex.[79], GR[85], 1953.
*1925 - «Nous emportions, en plus de l'équipement habituel, une grosse provision de méta, ce combustible si pratique, et des raquettes.» La Montagne, numéro 186, nov., 281 - C.T.
méta-mécanique n.f. SCULPT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Le merveilleux 'Moulin à prières' de 1953 y figure également, engrenage arachnéen et premier de ces méta-mécaniques que Tinguely, au cours de ces dernières années, a montré avec un succès grandissant dans toute une série de pays [...]» Le Monde, 18 déc., 12 - TGLPF
méta-nom n.m. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «[...] la 'chance' de cette table (narrativement : cet épisode) est liée à la possibilité d'un méta-nom (par exemple : la méta-séquence de la Bague).» BarthesS/Z, 89 (Seuil) - J.S.
méta-problématique n.m. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF. adj. : GLLF, GR[85], 1935, G. Marcel ; TLF, cit. Ricoeur, 1949
1949 - «La personne est engagée, c'est-à-dire qu'elle fait partie des données mêmes du problème - et le problème dans lequel on est engagé est au-delà du problème, un méta-problématique, ce que Marcel appelle un mystère J. LacroixMarxisme, existentialisme, personnalisme, 60 (P.U.F.) - TGLF
méta-récit n.m. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1986 - «Aujourd'hui comme hier, la question de la modernité passe aux yeux de la plupart des gens pour une question historique. Elle relèverait donc d'une histoire philosophique, ou encore, comme dit Lyotard, d'un 'méta-récit'.» La Quinzaine littéraire, n° 459, 16 mars, 21 - K.G.
méta-sexuel adj. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1945 - «Si la sexualité est, comme nous l'avons expliqué plus haut, une des manières que nous avons de nous rapporter au monde, quand, comme il arrive dans le rêve, notre être méta-sexuel s'éclipse, elle est partout et nulle part, elle est de soi ambiguë et ne peut pas se spécifier comme sexualité.» Merleau-PontyPhénoménologie de la perception, 437 (Gallimard) - TGLF
méta-séquence n.f. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «[...] la 'chance' de cette table (narrativement : cet épisode) est liée à la possibilité d'un méta-nom (par exemple : la méta-séquence de la Bague).» BarthesS/Z, 89 (Seuil) - J.S.
méta-texte n.m. LING.  LITT. - DDL 24 (Rép.), 1975 ; absent TLF.
1970 - «Texte métaphore de lui-même, simultanément texte et 'méta-texte' ; ainsi se crée un enchevêtrement de plus en plus complexe.» C. Veschambre, in Poétique, numéro 1, 75 - P.E.
1972 - «Cette constatation n'abroge pas la nécessaire référence de toute critique littéraire au dehors du texte (contexte, hors-texte, méta-texte) [...]» R. LauferIntrod. à la textologie, 6 (Larousse) - P.E.
métalittérature, méta-littérature n.f. LITT. 
Add.DDL 31 (1925)
*1959 - «Et puis, probablement avec les premiers ébranlements de la bonne conscience bourgeoise, la littérature s'est mise à se sentir double : à la fois objet et regard sur cet objet, parole et parole de cette parole, littérature-objet et méta-littérature Barthes, Littérature et méta-langage, in BarthesEssais critiques, 106 (Seuil, 1971) - J.S.
métasème, méta-sème n.m. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1976 - «Ces deux unités de contenu possèdent des traits en commun (en l'occurrence : [oblongité] et [expansivité]) que dans notre terminologie nous appelons 'méta-sèmes' : elles sont donc en un sens, 'isotopes', et cette double figuration de certains traits dans deux sémèmes différents et superposés constituera une 'isotopie verticale'.» Linguistique et sémiologie, L'Isotopie, 25 - Y.G.
1977 - «Récapitulons : au terme d'une longue réflexion critique sur l'analyse componentielle, nous avons été amenée à reconnaître trois types de traits intrinsèques : sèmes + métasèmes + sélectèmes. Les métasèmes (qui peuvent dans certains cas fonctionner en même temps comme traits distinctifs) ressortissent à la connotation ; quant aux sélectèmes, ils sont assimilables à l'ensemble des sèmes, des traits constants non distinctifs, et des traits variables, qui tous peuvent jouer un rôle dans la combinatoire, et qu'il n'est pas nécessaire de marquer deux fois [...]» C. Kerbrat-OrecchioniLa Connotation, 180 (Presses univ. Lyon) - Y.G.