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loupeur n.m. non conv. CARACT. "paresseux et débauché" - E, 1856 ; L, ø d.
Add.DDL :
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1839 - «La romance demandée... voilà... Le Loupeur de Paris.» Dupeuty et Vanderbuch, Balochard, I, xi - B.W.
*1842 - Dumersan, Les Noceurs - Dagneaud, 157.
*1843 - «[...] dans le langage d'une certaine classe, signifie paresseux, oisif, amateur de farniente.» Ch. Ballard, La Grande ville, II, 281 - Matoré, 92.
*1854 - «Paresseux, par allusion à celui qui travaille à la loupe, et par conséquent lentement.» La Châtre, Dict.
loupeur n.m. non conv. CARACT. "paresseux et débauché" - DDL 5, 1839 [repris in TLF, GR] ; GLLF, 1845, Besch. ; E, 1856 ; L, ø d.
1835 - «BERTRAND se débarrasse de ses affiches. Encore un jobard !... Comment ! comment ! ce salon n'est pas encore rangé, et l'assemblée est pour onze heures ? ... Loupeur que tu es... tu te crois encore là-bas !... tu connais cependant la générosité de M. de Saint-Rémond, et ce n'est pas le jour de son mariage qu'il se démentira.» Saint-Amand, Antier, Lemaître, Robert Macaire, 290b (Impr. Didot) - P.E.
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