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celtolatin, celto-latin adj. ANTHROPOL. - TLF, cit. Barrès, 1913.
*1920 - «[...] je lui demandais [à Drumont] s'il n'était point, par hasard, décidé à reprendre la série du Petit Bob et de la grosse baronne en "Storne" ou en "Leine", à laquelle la très authentique (et authen-toc) petite vicomtesse, au frais minois celtolatin, inflige de si piquantes leçons de maintien.» L. DaudetAu Temps de Judas, 50 (Nouv. Libr. nat.) - M.C.
gréco-latin adj. RELAT. INTERN. - PR[73], 1856 ; GLLF, 1858, La Châtre.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1821 - «Le nom de Pélage n'est que la traduction greco-latine du nom britannique de Morgan, qui signifie né de la mer, marigena D.-L. Miorcec de KerdanetHist. de la langue des Gaulois, 31, note (Rennes, Libr. Duchesne) - M.C.
*1842 - «Qui appartient au grec et au latin.» Complément Acad.aussi dans : Bescherelle, 1848 ; La Châtre, 1852.
gréco-latin adj. RELAT. INTERN. - TLF, 1821, Miorcec de Kerdanet.
Add.DDL 10 (1821, Miorcec de Kerdanet)
*1839 - «L'auteur parle très vaguement des colonies tyriennes, phéniciennes ou égyptiennes, qui, suivant la tradition gréco-latine, ont peuplé les terres occidentales.» R. des deux mondes, 1er déc., 713 - P.E.
hungaro-latin adj. RELAT. INTERN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1944 - «[...] personne ne se douta encore des proportions du combat imminent qui devait avoir lieu en Transylvanie entre la versification roumaine d'inspiration hungaro-latine de cette partie de la Hongrie et la versification italo-grecque d'outre-mont.» L. Galdi, in Helicon, n° V, 96 - P.E.
indo-latin adj. GÉOPOLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1985 - «Mais l'histoire coloniale dont elle est issue est longue, complexe [...] elle est beaucoup plus complexe que celle qui fonde l'hispanophonie ou la lusophonie comme entités régionales, en fait restreinte à l'Amérique dite 'latine' (en fait indo-latine).» La Quinzaine littéraire, n° 436, 16 mars, 5 - K.G.
judéo-latin adj. SOCIOPOLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «Maintenant, cette ignominie, il [Costals] l'aimait : 'C'est ma matière.' Le gorille latin, l'ouistiti parisien, la pétroleuse à teint de limande, le sans-culotte à la bouche cloaqueuse et à la voix de fille, tous ces gens gris tendus vers le mal faire - tromper, voler, b..., resquiller, se défiler, - tout ce débraillé judéo-latin (extérieur) qui horrifie et fascine le décent Nordique, parce qu'il témoigne du débraillé intérieur et promet qu'ici tout est possible [...]» Montherlant, Les Lépreuses, in MontherlantRomans, 1507 (Gallimard, 1962) - TGLF
latin de cuisine loc. nom. m. péjor. LING. - FEW (2, 1168a), DEL, 1611, Cotgr. ; GLLF, 1634, Cramail ; TLF, DHR, ø d.
1572 - «[...] une nature libre, et genereuse est plus facile à s'encliner à une science noble et liberale, qu'à une mercenaire, telle qu'on voit aujourd'huy celle des Loix, que je voyois crasseuse et par un Accurse, et Bartole, presques gens Barbares et ignorants, plutost obscurcie (avec leur gros Latin de cuysine) qu'éclaircie.» J. de La TailleLes Corrivaus, appendice, 41 (Didier, STFM) - P.E.
néo-latin adj. LING. - GLLF, ND4, 1836 ; R, 1839, Boiste ; L, ø d ; Lex.[75], v. 1900.
• néolatin
 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1834 - «NEOLATINE, adj. f. langue, littérature qui s'est formée à l'imitation des Latins. (hybride.)» BoisteDict. - P.E.
néo-latin adj. LING. - GLLF, ND4, 1836 ; R, 1839, Boiste ; L, ø d ; Lex.[75], v. 1900.
• novo-latin
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «[...] outre le grec, le latin et les langues novo-latines, le sanscrit et le pali lui sont familiers [...]» R. Fernandez, in NRF, n° 137, févr., 246 - P.E.
néo-latin n.m. LING. - Lex.[75] (adj. et n.), v. 1900 (?) ; absent TLF.adj. : DDL 15, TLF, 1834, Boiste ; GLLF, ND4, 1836 ; R, 1839, Boiste ; L, ø d
1901 - «[...] les néo-latins, les Grecs ou ceux qui ont fait des études classiques sont seuls capables de comprendre ces racines latino-grecques [...]» R. mensuelle Touring-Club de France, juill., 297a - G.S.
néo-latin adj. GÉOPOLIT. "latino-américain" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1865 - «Dans les premiers mois de 1864, une circulaire du ministre des relations extérieures du Pérou, M. Ribeyro, avait invité tous les états du continent sud-américain à former un congrès où seraient discutées les bases d'une ligue propre à "fusionner les forces matérielles et intellectuelles de la race néo-latine." [...] l'idée d'une grande ligue néo-latine n'était pas nouvelle en Amérique, et depuis quelques années elle y préoccupait certains esprits qui cherchaient le moyen, peut-être insoluble, d'unifier la patrie hispano-américaine sans toucher à la jalouse indépendance des divers états qui la composent.» J. de Lasseube, in R. des deux mondes , t.56, 1er avr., 795 et 796 - M.C.