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Japonais n.m. Toponymesur JaponN. PEUPLE - TLF, cit. Cassou, 1960.
• Japon
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1667 - «Ceux que Sauvages on appelle, / Peuples de nature cruelle, / les Iroquois et les Japons, / Au lieu de Perdrix et Chapons, / Font souvent servir sur leurs tables, / Dans leurs banquets plus délectables, / Les hommes lardez et rôtis.» Robinet,  Continuat. Loret, 2 janv., II, 594.
japonais adj. Toponymesur JaponLING. 
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1580 - «L'on y pourra aussi dresser vn Seminaire propre pour enseigner diuerses facultez, et langues, et nommement la Iapponoise.» Let. du Iappon, de l'an M.D.LXXX. envoyees par les prestres de la Compagnie de Iesus, 3 verso - P.E.
japonais adj. Toponymesur JaponGÉOPOLIT. - Lex.[75], v. 1500 (?) ; GLLF, 1667, Robinet ; R, PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1580 - «[...] nostre frere Iean, comme le plus coulpable, par ce qu'estant de nation Iapponoise [...] ces seigneurs Iapponois [...]» Let. du Iappon, de l'an M.D.LXXX. envoyees par les prestres de la Compagnie de Iesus , 3 verso et 46 recto - P.E.
*1589 - In titre : [A. d'Almeida], Nouueaux advertissementz des choses qui se sont passees en la Chine, et au Iapon, et du retour des Princes Iaponois, qui l'an 1585. vindrent à Rome, et de leur arriuée aus Indes (Douai, Bogart). In G. Atkinson, La Littérature géogr. fr. de la Renaissance, 275 (Picard) - P.E.
*1616 - «[...] ce que les nauires des Indes apportent coustumierement au mois de Ianuier, ou la flotte Iaponoise sur la fin de Iuin. [...] pyrates Iaponois. [...] les Ambassadeurs Iaponois [...] des espions Iaponnois [...]» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault,  Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine , 234 et 241 et 416 et 543 (Cardon) - P.E.
*1684 - «Iaponois, Aus der insel Japonien - ein Japoneser - Hic Iapon.» Nouv. dict. du voyageur, fr.-all.-lat., 511 (Chouët) - P.E.
japonais adj. Toponymesur JaponGÉOPOLIT. - Lex.[75], v. 1500 (?) ; TLF, 1580 ; GLLF, 1667, Robinet ; R, PR[77], ø d.
• japonique
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1585 - «[...] en sa contree Iaponique [...]» Cholières, Les Neuf matinées, 55 (Richer) - P.E.
japonais adj. Toponymesur JaponGÉOPOLIT. - Lex.[75], v. 1500 (?) ; TLF, 1580 ; GLLF, 1667, Robinet ; R, PR[77], ø d.
• japonesque
 - PR[77], 16e ; absent TLF.
1585 - «à la façon Iaponesque [...]» Cholières, Les Neuf matinées, 55 (Richer) - P.E.
japonais adj. Toponymesur JaponGÉOPOLIT. - Lex.[75], v. 1500 (?) ; TLF, 1580 ; GLLF, 1667, Robinet ; R, PR[77], ø d.
• japon
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1616 - «Le P. Pierre Gomez estoit mort en l'Isle Iaponne, laquelle auec la Chine estoit sous la conduite d'vn mesme Vice-Prouincial de nostre Compagnie. [...] les domestiques Iapons [...]» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault,  Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine , 798 et 889 (Cardon) - P.E.
japonais n.m. Toponymesur JaponN. PEUPLE - Lex.[75], v. 1500 (?) ; GLLF, 1667, Robinet ; TLF, cit. Cassou, 1960 ; R, PR[77], ø d.
1605 - «[...] y en auoit cinq cens Giaponois qui aussi demandoient le martyre [...]» P. Cayet, Chronologie septenaire, 24 verso (Richer) - P.E.
1608 - «[...] les Iaponois estimoient le mensonge si detestable [...]» V. Mussart, Le Fouet des jureurs et blasphémateurs, 115 (Crevel) - P.E.
1616 - «Les Cocincinois, et Ciames, desquels les Portugais ont apris le nom de la Chine, l'appellent encor auiourd'huy Ciu : les Iaponois Than ; Les Tartares Han ; les Sarrazins de l'Occident Catai.» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault, Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine, 7 (Cardon) - P.E.
1623 - «Maffée parlant en son Histoire des Iaponnois monstre qu'ils sont de vrais idiots [...]» F. Garasse, La Doctrine curieuse, 63 (Chappilet) - P.E.
1642 - «A trois iours de là, les Iapponois auec vne partie de leur armée nauale, la furent reconnoitre : mais trop tard [...]» Du Bail, Le Fameux Chinois, 523-4 (Sercy) - P.E.
*1684 - «Iaponois, Aus der insel Japonien - ein Japoneser - Hic Iapon.» Nouv. dict. du voyageur, fr.-all.-lat., 511 (Chouët) - P.E.
japonais n.m. Toponymesur JaponN. PEUPLE - Lex.[75], v. 1500 (?) ; GLLF, 1667, Robinet ; TLF, cit. Cassou, 1960 ; R, PR[77], ø d.
• Japon
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1616 - «[...] cette decoction fameuse des Chinois, Iapons et peuples voisins, qu'ils appellent Cian. [...] les Iapons [...]» D.F. de Riquebourg-Trigault, trad. : N. Trigault,  Hist. de l'expédition chrestienne au royaume de la Chine , 24 et 42 et 167 (Cardon) - P.E.
japonais n.m. LING. - TLF, 1859, Banville ; GLLF, Lex.[79], GR[85], 1873, Lar. ; Ls, ø d adj. : DDL 18, 1580
Add.DDL :
*1752 - «JAPONOIS, s.m. Langue du Japon.» Dict. univ. de Trévoux - TGLF
*av. 1778 - «Dans la vie de st François Xavier on trouve qu'il ne mit que quarante jours à aprendre le japonais et qu'il commença par ressusciter une fille.» Voltaire, Oeuvres complètes, Notebooks, t.81, 176 (Genève-Toronto) - P.E.
japonais n.m. LING. - DDL 31, 1752, Trév. ; TLF, 1859, Banville ; GLLF, GR[85], 1873, Lar. ; Ls, ø d.
1682 - D. Bouhours, La Vie de Saint François Xavier, 340 (Paris) - R. L. rom., 53, 242.
Japonais n.m. Toponymesur JaponN. PEUPLE "personne qui habite le Japon ou qui en est originaire" - DDL 18 (Giaponois), 1605, Cayet ; GLLF, 1667, Robinet ; TLF, DHR, ø d.
• Japanois
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.Iaponois : DDL 18, 1608, Mussart
1575 - «Les Cathains ou Chinois et Japanois [écrivent] de hault en bas, disans en cela suivre l'ordre de nature [...].» L. Le Roy, De la Vicissitude ou variété des choses en l'univers, 81 (Fayard, 1988) - P.E.
russo-japonais adj. GÉOPOLIT. - TLF, cit. France, 1908 ; R, cit. Martin du Gard [1922-40] ; PR[82], ø d.
1905 - «Tandis que se déroule cette guerre russo-japonaise [...] il est pour nous essentiel d'en recueillir à mesure tous les enseignements.» Lectures pour tous, juill., [859] - M.K.
sino-japonais adj. GÉOPOLIT. - TLF, cit. Queneau, 1942.
1911 - «Preuve : la guerre sino-japonaise.» Maréchal Foch, Des Principes de la guerre, 35 (Berger-Levrault, 1918) - FRANTEXT
1938 - «Ah ! tout le problème sino-japonais tient là-dedans. Chang Kaï Chek, jadis l'ennemi violent du communisme et des bolchéviks, obéit, depuis janvier 1937, à Moscou. Or, cela, le Japon ne peut pas l'admettre.» C. Farrère, in R. des deux mondes, 1er mai, 97 - M.C.