Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
pluri-isotopie n.f. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1977 - «Le problème de la manifestation syntagmatique des unités de connotation nous a donc menée à celui de l'isotopie, puis à la pluri-isotopie, et de là, au problème du sens pluriel. [...] Il arrive que par pluri- (ou poly-)isotopie on entende la coexistence successive, dans un même texte, de plusieurs isotopies, c'est-à-dire les variations thématiques qui caractérisent la diachronie discursive. Mais les isotopies, et le terme de 'pluri-isotopie' est alors plus intéressant, peuvent aussi être simultanées. Ou encore, enchevêtrées, lorsque le découpage des séquences-supports des différentes isotopies, ne coïncide pas, et que leur superposition n'est de ce fait que partielle.» C. Kerbrat-OrecchioniLa Connotation, 188 et 189, note (Presses univ. Lyon) - Y.G.
poly-isotopie n.f. LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1976 - «Par poly-isotopie, on peut entendre plusieurs choses : - la coexistence dans un même texte d'isotopies de divers types - phonétiques, syntaxiques, sémantiques, etc... - dont d'après RASTIER, c'est le but de l'analyse stylistique de chercher l'articulation, ou la coexistence seulement d'isotopies sémantiques.» Linguistique et sémiologie, L'Isotopie, 27 - Y.G.
1977 - «Le problème de la manifestation syntagmatique des unités de connotation nous a donc menée à celui de l'isotopie, puis à la pluri-isotopie, et de là, au problème du sens pluriel. [...] Il arrive que par pluri- (ou poly(-)isotopie on entende la coexistence successive, dans un même texte, de plusieurs isotopies, c'est-à-dire les variations thématiques qui caractérisent la diachronie discursive. Mais les isotopies, et le terme de 'pluri-isotopie' est alors plus intéressant, peuvent aussi être simultanées. Ou encore, enchevêtrées, lorsque le découpage des séquences-supports des différentes isotopies, ne coïncide pas, et que leur superposition n'est de ce fait que partielle.» C. Kerbrat-OrecchioniLa Connotation, 188 et 189, note (Presses univ. Lyon) - Y.G.