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goinfrerie n.f. US. ALIM. "gloutonnerie" - AD, 17e ; L, Richelet.
Corr.DG, ND2, PR[67] (1653) et Compl. L (Maynard), TLF (mêmes réf., ø texte) :
av. 1646 - «Ie suis tousiours de la partie et tasche de me resouuenir des importantes leçons de goinffrerie que vous m'auez si souuent faites.» Les Let. du Président Maynard, 51 (Paris, 1653) - R.A.
goinfrerie n.f. CARACT. "libertinage" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1633 - «Ie me souuins de tous ses discours [ceux du chevalier d'industrie], pour m'en seruir en temps et lieu, car ie sentois que mon inclination estoit fort portee à la goinfrerie.» La Geneste, trad. : Quevedo, L'Avanturier Buscon, 236 (Billaine) - P.E.
1649 - «[...] toutes ses goinfreries que j'ay faites, et les impiétés que j'ay commises, c'estoit plus pour faire l'esprit fort, que par inclination que j'eusse à l'Atheisme.» La Querelle d'un partisan avec sa femme, 6 (Sassier) - P.E.
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