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godailleur adj. non conv. US. ALIM. "buveur" - BW5, 1831 ; ND2, déb. 19e ; L, DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1821 - «Il a de l'esprit pour les gens qui fréquentent les cafés et pour cette espèce godailleuse qui reste la bouche ouverte en entendant ces phrases consacrées parmi les mauvais sujets [...]» Balzac, Corresp., I, 114 (Pierrot) - P.W.
godailleur n.m. non conv. US. ALIM. "celui qui aime boire" - FEW (15/I, 12b), R, GLLF, BW6, 1831 ; TLF, 1835, Leclercq ; ND4, déb. 19e ; L, ø d ; DG (néol.), 1875, Acad.
Add.DDL :
*1820 - «[...] les cabinets garnis n'y étaient occupés que par [...] des godailleurs-cigaristes de profession, et sans état de leur métier, qui tout le long du jour escorbardaient [sic] dans un billard ou au piquet quelque dupe [...]» [P. Cuisin], La Vie de garçon dans les hôtels garnis de la capitale, 197 - J.Hé.
godailleur n.m. non conv. US. ALIM. "celui qui aime boire" - DDL 22 (godailleur-cigariste), 1820, Cuisin [repris in GR] ; FEW (15/I, 12b), GLLF, 1831 ; TLF, 1835, Leclercq ; L, ø d ; DG (néol.), 1878, Acad.
1807 - «Ce verbe [s'attabler] ne s'emploie que par mépris, en parlant des godailleurs, des coureurs de cabarets.» [D'Hautel], Dict. du bas-langage, I, 49 (Slatkine) - P.E.
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