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carmélite (frère -) loc. nom. m. RELIG. - PR[67], BW5, ND2, v. 1640 ; GLLF, mil. 17e ; FEW (2, 378b), Retz ; L, Mme de Sév. ; absent TLF.
1512 - «[...] et dicelle montaigne ha prins son nom lordre des freres Carmelites [...]» J. Lemaire de BelgesIllustrations, II, 102 (Slatkine) - E.Se.
coupe-choux (frère -) loc. nom. m. péjor.  RELIG. - FEW (2, 872b), GLLF, PR[77], 1642, Richelieu ; TLF, cit. Béranger, 1829 ; L, cit. Béranger ; DG, R, ø d.
• frère coupechou
 - Ls, TLF, 1642, Richelieu.
1619 - «Mais à ceste heure on respond c'est la mode, il n'y a personne qui n'y mette le nés, il n'y a si petit frere coupechou qui ne veille entrer au Louure, il n'y a harangere qui ne se mesle de parler de la guerre et de la paix : les crocheteurs au coin des ruës font des panegyriques et des inuectiues : l'vn louë monsieur d'Espernon, l'autre le blasme [...]» Advis du Gros Guillaume, sur les affaires de ce temps, 10 (Paris) - P.E.
coupe-choux (frère -) loc. nom. m. péjor.  RELIG. - FEW (2, 872b), GLLF, PR[77], 1642, Richelieu ; TLF, cit. Béranger, 1829 ; L, cit. Béranger ; DG, R, ø d.
• frère coupe-chou
 - FEW, 1680, Rich.
*1640 - «Frere Coupe-chou .i. vn Frere lay qui trauaille au iardin OudinCuriositez fr., 597 (Slatkine) - P.E.
faux frère loc. nom. m. CARACT. - FEW (3, 765b), 1675 ; TLF, cit. Guéhenno, 1952 ; L, DG, R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
Add.DDL :
*1668 - «Nous avons sujet de craindre, qu'il n'y ait encor en ce siècle dereiglé de ces esprits corrompus, & de ces faux freres dont S. Paul se plaignoit dêja de son temps, qui font profession de n'aymer rien tant que l'êclat de la verité ; mais, qui ne la pouvans souffrir lors qu'elle reprend leurs defauts, ne manqueront pas de s'êlever contre la solidité de nos maximes Pastorales, & de se declarer contre la sainteté des loix que Nous vous prescrivons.» J. d'Aranton d'AlexConstitutions et instructions synodales de S. François de Sales, f° 8 v° (Annecy, Clerc) - P.E.
faux frère loc. nom. m. CARACT. - DDL 15, 1668, J. d'Aranton d'Alex [repris in DHR] ; FEW (3, 765b), GLLF, 1675, Mme de Maintenon ; TLF, ø d.
1615 - «Faux freres, le peril desquels sainct Paul tient plus grand que nul autre, qui sous une peau d'ouaille portent un coeur de loup, et sous le masque de catholique jouent le roolle de l'heretique [...]» J.P. CamusHomélies des Etats généraux, 274 (Droz) - P.E.
1626 - «Les espions, les fauls freres, & un fauls pere nous font bien du mal.» A. d'AubignéOeuvres complètes, I, 334 (Lemerre) - P.E.
1659 - «Enfin, ces mutins et faux-frères / Outragérent, fort, ces bons Péres, / N'ayans, pour iceux, respect nul [...]» J. LoretLa Muze hist., III, 90 (Daffis) - P.E.
frère n.m. HIST. RÉVOL. - GLLF, Chateaub. ; DG, L, PR[73], ø d ; absent TLF.
1788 - «On sort en foule. Les beaux parleurs se disent : nous voilà donc tous bientôt frères, bientôt égaux.» Let. du chevalier de Montagnac, Nantes, 8 déc., in A. CochinLes Sociétés de pensée et la révolution en Bretagne, II, 345 (Plon) - LTP
frère (gros -) loc. nom. m. arg. , non conv. ARGENT "grosse coupure" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «Comme elle manifestait une envie ardente de voir l'argent, je lui montrai vingt gros frères et une liasse de petits frères [...]» J.-H. Rosny, Le Vertige d'Anaïs, cité in La Nouv. critique, 2 - J.Gi.
frère (petit -) loc. nom. m. arg. , non conv. ARGENT "petite coupure" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «Comme elle manifestait une envie ardente de voir l'argent, je lui montrai vingt gros frères et une liasse de petits frères [...]» J.-H. Rosny, Le Vertige d'Anaïs, cité in La Nouv. critique, 2 - J.Gi.
frère (son -) loc. nom. m. non conv. "pour demander une chose identique à celle dont il s'agit" - GR[85], ø d ; absent TLF.
1889 - «[...] il aborde un gros monsieur riche (complètement inconnu de lui, fumant un gros cigare), avec ces mots : - Vous n'auriez pas son frère A. AllaisOeuvres posthumes, 198 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
frère de la côte loc. nom. m. HIST.  MAR. "pirate" - GLLF, 1872, Lar. ; TLF, GR[85], cit. Loti, 1883.
• frère-la-côte
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1914 - «Il n'arrive jamais ici un frère-la-côte sans que tu lui indiques le moyen de venir à bout du vieux Protée !» Claudel, Protée, 1ère version, in ClaudelThéâtre, II, 323 (Pléiade, 1956) - A.Ré.
frère servant loc. nom. m. HIST. RÉVOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1801 - «Dans la correspondance des agents du Royalisme en Angleterre et en France, on appelle les Constitutionnels les Frères servants [...]» Cousin JacquesDict. néol. , (s.v. constitutionnel) (Moutardier) - LTP
mot-frère n.m. AFFECT.  LING. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1977 - «Ce sont les mots qui servent de véhicule, qui conduisent vers des mots-frères [...] des mots-miroirs, des mots-ennemis. Ces mots en fait deviennent des mots clefs [...]» M. CardinalAutrement dit, 62 (Grasset, Livre de poche) - K.G.
unique (frère -) n.m. FAMILLE - Gc (soeur -), 1598, Cheverny ; absent TLF.
v. 1521 - «Pour acquerir, par hault oeuvre bellique, / L'amour du Roy, le vostre Frere unique C. MarotLes Epîtres, 109 (Nizet) - P.E.
1532 - «Mais pour l'amour de vostre Frere unique, / Roy des Françoys [...]» C. MarotLes Epîtres, 104 (Nizet) - P.E.