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fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
• Ni ni, c'est fini
 
1799 - «JEROME, soupirant. Ni ni, c'est fini.» Gouffé et Duval, Vadé à la Grenouillère, 46 (Théâtre des Troubadours) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
• N. i. ni... fini
 
Add.DDL :
*1802 - «DRELINDINDIN. [...] Regrets superflus... elle est morte. N. i. ni... fini...» Henrion et Servière, Drelindindin, 20 (Barba) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
• Ni ni c'est bâclé
 
1815 - «FANCHON ET MARGUERITE. Ni ni... C'est bâclé...» Dubois et Brazier, Le Bouquet des poissardes, 5 (Barba) - P.E.
1822 - «BEQUET. [...] ni... i... ni c'est bâclé... touchez là...» Rougemont, La Dot du savetier, 39 (Quoy) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
• N... i... n... i... la comédie
 
1853 - «Et Sophie Galoubet s'est payé une fin au charbon....... N... i... n... i... la comédie !» E. Martin, Collégiens, étudiants et mercadets pour rire, 137 (Delahays) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
• n, i, ni, c'est parti
 
1859 - «Et dire qu'ici l'on faisait six mille francs chaque fois que je jouais, et qu'à midi il n'y avait plus de location ! On ne reverra plus de soirées comme cela, ma belle ; n, i, ni, c'est parti avec Irma Aubert.» Monselet, Le Musée secret de Paris, 137 (M. Lévy) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. 
Compl.TLF (mêmes réf.)
Add.DDL :
*1801 - «MANON. [...] Je perds tout. Mme ANGOT. Tu l'as dit ; n-i-ni, c'est fini !» Périn et Pillon, Tous les niais de Paris, 42-43 (Hugelet) - P.E.
*1808 - «L' curé répond : Nenni, / N, i, ni, c'est fini.» Désaugiers, Chansons et poésies diverses, I, 158 (Capelle et Renand) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv.  PHRASÉOL. - TLF, ø d.
Add.DDL 15 (1801)
*1817 - «[...] les coucous de Paris ne battent plus que d'une aileà nini, c'est fini.» Théaulon, Dartois et Ledoux, Le Calendrier vivant, revue-folie, 31 déc., 18 - P.W.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. "c'est absolument fini>" - DDL 15, 1801 [repris in TLF] ; BEI, 1805>ni ni, c'est fini : DDL 15, 1799 [repris in GR[85], DEL].
• n, i, ni, fini
  - DDL 15, TLF, 1802, Henrion et Servière.
1799 - «MENU. Ne me parlez plus de rien : laissez-moi lire, laissez-moi lire. Les hommes, les femmes... fini n-i ni fini. CATONNET. Il faut qu'on vous ait diablement travaillé. MENU. De toutes les façons, de toutes les couleurs, bamboches sur bamboches.» [Aude et Hapdé], Cadet Roussel misantrope et Manon repentante, 20 (Théâtre du Vaudeville) - P.E.
fini (n, i, ni, c'est -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. "c'est absolument fini" - DDL 15, 1801 [repris in TLF] ; BEI, 1805 ni ni, c'est fini : DDL 15, 1799 [repris in GR[85], DEL] ; n, i, ni, fini : DDL 32, 1799
1796 - «Citoyen général, / Tes lapins manquent de pain ; / Pas de pain, pas de lapins, / Pas de lapins, pas de victoires. / Ainsi donc, veille au grain. / Et n...i...ni, / C'est fini !» Billet adressé par le général Flavigny à Bonaparte, in H. France, Dict. de la langue verte, 258 (Nigel Gauvin, 1907) - Ch.Bu.
semi-fini adj. INDUSTR. - TLF, 1927, B. mens. ; GR[85], v.1964 ; GLLF, 1970.
*1963 - «[...] pour une commande donnée, l'un d'eux [...] leur 'achète', d'un point de vue comptable, matériaux, produits semi-finis ou services.» P. Belleville, in Les Temps modernes, numéro 206, juill., 113-4 - P.E.