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arrache-souche[s] n.m. TECHNOL. AGRIC. "engin servant à arracher les souches" - TLF, cit. Hémon, 1916.
1875 - «Arrache-pierres et souches de Fillion.» E.A. BarnardCauseries agricoles, 7 (Montréal, Burland-Desbarats) - TLFQ
1877 - «Instruments d'agriculture. [...]. Arrache-souche et arrache-pierre.» Le Nouvelliste, 28 sept., 1 (Québec) - TLFQ
cadet de famille loc. nom. m. FAMILLE - GLLF (s.v. célibat), G. Sand ; DG, TLF, ø d.
1790 - «Cadet de famille [...]» Mr de L'EpithèteDict. national et anecdotique, Append. (Paris) - LTP
cellule-souche n.f. BIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1874 - «Les diverses cellules-souches [...] d'où sont sortis les groupes principaux ou 'phyles' du règne animal et du règne végétal.»Ch. Letourneau, trad. : HaeckelHist. de la création des êtres organisés, 366 - A.R.-J.De.
conseil de famille loc. nom. m. VIE SOC.  "par ext." - absent TLF.
Compl.L (Mme de Sév.)
1677 - «Je suis toujours très-contente de La Garde ; il est aisé de l'aimer ; [...] Il ne songe qu'à s'en aller ; je serai ravie que vous l'ayez, et le bel abbé ; vous tiendrez avec eux votre conseil de famille ; pour moi, je crois que j'irai demain à Livry.» Mme de SévignéLet., à Mme de Grignan , 14 juill., II, 1226 (Ed. Gérard-Gailly) - Nies.
fils de famille loc. nom. m. SOCIOL.  "qui est de bonne famille" - L, cit. La Fontaine ; DG, R, GLLF, TLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
1606 - «[...] il fit battre de verges un fils de famille de bonne maison, ce qui excita une grande rumeur entre le peuple.» Les Amoureux brandons de Franciarque et Callixene, 36 (Gay) - P.E.
registre à souche loc. nom. m. ADMIN. - L, GR[85], TLF, ø d souche : TLF, 1808, Boiste ; GLLF, Lex.[79], GR[85], 1829, Boiste ; L, DG, ø d
1797 - «Cette reconnoissance, signée du receveur, sera détachée, en présence de l'actionnaire, du registre à souche délivré par l'administration [...]» Le Frondeur, numéro 197, 21 vendémiaire, 2 - P.E.
1854 - «SOUCHE, s.f. [...] Administr. Registre à souche. Registre dont les feuilles sont destinées à être coupées, l'une après l'autre, en zigzag dans le sens de leur longueur entre les filets d'une bande imprimée ; de sorte qu'en rapprochant la partie coupée et détachée de chaque feuille de celle qui y est restée, on puisse s'assurer, par leur exacte jonction sur tous les points, que ce sont bien les deux parties de la même feuille. Les parties de feuilles qui restent reliées au registre forment ce qu'on appelle la souche La ChâtreDict. - TGLF
sans-famille adj.  ou n. HIST.  SOCIOPOLIT.  U.R.S.S."par ext. : "juif"" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1953 - «L'expression "sans-passeport" acclimatée [en U.R.S.S.] depuis 1948, concurremment avec "sans-logis", "sans-famille", "sans-racines", "sans-patrie", pour désigner les gens "d'origine juive" en évitant de prononcer le mot tabou.» Staline contre Israël, 27 (Assoc. d'Etudes et d'Informations polit. intern.) - J.S.
souche n.f. non conv. INTELL. "personne lourde d'esprit, obtuse" - GLLF, av.1648, Voiture ; FEW (13/II, 349b), Voiture ; L, cit. Hauteroche ; TLF, cit. Balzac, 1835.
Emploi adj. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1567 - «FINET. En tout le monde il n'y a pas / Un plus sot que ce sot benest, / Lequel est plus souche que n'est / Mesme une souche !» BaïfLe Brave, 169 (Droz) - P.E.
souche n.f. non conv. INTELL. "personne lourde d'esprit, obtuse" - GLLF, DHR, av. 1648, Voiture ; FEW (13/II, 349b), Voiture ; TLF, ø d emploi adj. : DDL 38, 1567, Baïf
1561 - «MARION (à part.) Voici Josse [un vieillard], qui est plus blesme / Qu'un trespassé de quinze jours. / Quel vray champion en amours, / Qui se mesle encore d'aimer ! / Il serviroit bien d'allumer / Un feu qu'il ne pourroit estaindre ; [...] Mettez-moy ceste vieille souche / Auprès d'un feu si bien espris / Où les plus huppez seroient pris.» J. Grévin, Les Esbahis, in J. GrévinThéâtre complet et poésies choisies, 122 (Garnier, 1922) - P.E.
1634 - «CRYSANTE. Il est donc une souche / S'il ne peut rien comprendre en ces naïfvetéz. / Peut estre y meslois-tu quelques obscuritez ?» P. CorneilleLa Veuve, 83 (Genève, Droz, 1954) - P.E.
soutien de famille loc. nom. m. DR. - TLF, 1740, Varenne ; GLLF, 1872, Bull. des lois ; FEW (12, 478a), 1875, Lar. ; L, DG, ø d ; R, cit. Capitant ; Lex.[75], PR[77], ø d.
• soutien
 - ø t. lex.; absent TLF.
1828 - «Tu n'es pas, Chauvin, sans savoir que si le Roi appelle dans les rangs des hommes qu'il a besoin, il ne veut pas, dit-il, enlever aux familles les soutiens qui les nourrissent par leurs travaux agricultes.» Let. de Jean-Jean, sergent libéré, à son ami Chauvin, conscrit de 1827, 14-15 (Marchands de nouveautés) - P.E.
super-nombreuse (famille -) loc. nom. f. non conv. SOCIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «[...] toute sa technique pour vous envelopper [...] consiste à se plaindre, à pleurer misère [...] Que la vie était difficile ! Les impôts ! Sa famille super-nombreuse A. BoudardLa Métamorphose des cloportes, 161 (Plon, Livre de poche) - K.G.
1964 - «L'instituteur a un point de vue plus sévère : 'Nous avons une bonne dizaine de familles super-nombreuses et misérables dans le pays... Les Sylvestre n'étaient pas les pires'.» C. Gouvion, in L'Express, 7 déc., 92 - AFC
1967 - «La réunion de ces deux solitudes, de ces deux familles déjà nombreuses mais brisées, pour en faire une nouvelle, super-nombreuse, mais une par le coeur et l'espérance, quoi de plus fort et de plus beau.» S. Fontaine, in Elle, 12 oct., 109 - AFC
tribunal de famille loc. nom. m. HIST. RÉVOL. - TLF, 1776, Restif de la Bretonne.
*1790 - Décret, 16-24 août, titre X, art. 15, in HLF, IX, 2, 1045 - LTP
*1791 - «Si un père ou une mère, ou un ayeul ou un tuteur, a des sujets de mécontentement très graves, sur la conduite d'un enfant ou d'un pupille dont il ne puisse plus réprimer les écarts, il pourra porter sa plainte au tribunal domestique de la famille, assemblée au nombre de huit parents les plus proches [...] Le tribunal de famille [...] pourra arrêter que l'enfant [...] sera renfermé pendant un tems qui ne pourra excéder celui d'une année [...]» GautierDict. de la Constitution (Paris) - LTP