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cas faible loc. nom. m. LING. - TLF, ø d.
1847 - «M. Bopp distingue des cas forts et des cas faibles, quelquefois même des cas moyens. Les cas forts sont, selon lui, les nom., acc., voc. du sing., les nom., acc., voc. du duel, les nom. et voc., du plur. (pour les neutres, il faut ajouter l'acc. plur.). Tous les autres cas seraient des cas faibles. Lorsqu'il y a lieu de distinguer des cas moyens, ce seraient ceux parmi les cas faibles dont la terminaison commence par une consonne...» L. BenloewDe l'Accentuation dans les langues indo-européennes tant anc. que mod., 28 (Hachette) - J.C.
faible (avoir un - pour qqn) loc. verb. non conv. RELAT. - TLF, cit. Mérimée, 1870 ; GLLF, cit. Feuillet ; DG, GR[85], ø d.
1798 - «CADET-ROUSSEL [...] Mais revenons à ma perfide moitié : car, malgré toutes ses bamboches, j'ai toujours un faible pour elle [...]» BoullaultLa Mort de Cadet-Roussel, 23 (Barba) - P.E.
économiquement faible loc. nom. SOCIOL. "personne aux ressources très faibles" - TLF, cit. Univers écon. et soc., 1960 ; GLLF, GR[85], ø d.
Add.DDL 30 (1947, Queffélec)
*1950 - «Une nouvelle expression - qui en dit long sur l'époque - "Les économiquement faibles".» J. Galtier-BoissièreMon journ. dans la Grande Pagaïe, [19 sept. 1946], 12 (La Jeune Parque) - K.G.