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dernier (petit -) loc. nom. m. non conv.  FAMILLE  "dernier-né" - TLF, cit. Fongeray, 1827 ; PR[77], ø d.
1615 - «[...] nous nous portons tous bien, ton fils vray soldat que j'ay grand peur qui aymera mieux l'espée que les livres ; quant au cadet, il guanbade fort et ne m'incommode pas à beaucoup pres tant que le pauvre petit dernier, Dieu nous en donne joye et contentement par sa bonté et nous donne à tous la grace d'estre gens de bien !» Marthe de Mornay, let., in Mme de MornayMém., II, 254 (Renouard) - P.E.
dernier cri loc. nom. m. MODE - FEW (2, 1487a), 1907, Lar. ; TLF, cit. Jouhandeau, 1926 ; PR[72], GLLF, ø d.
1892 - «Voilà les derniers cris, comme on dit aujourd'hui.» Le Moniteur de la mode, 26 mars, 147a - M.H.
dernier de cordée loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «Le mousqueton proprement dit, sorte d'anneau piriforme composé d'une partie fixe et d'un battant à ressort, partie mobile. Les deux éléments s'unissent par l'accrochage d'une griffe et d'un crochet. Un piton léger (acier ou duralumin) étant planté, le grimpeur qui désire assurer son compagnon ou s'assurer lui-même 'Selbstsicherung', ouvre le battant du mousqueton et introduit la corde qui se trouve prisonnière après la fermeture du battant à ressort. La libération de la corde s'effectuera par la manoeuvre inverse. Le dernier de cordée récupère le mousqueton et, dans la plupart des cas, quelques coups de marteau ramènent le piton lui-même. Donc, économie de temps quant à l''assurage' et sécurité relative.» La Montagne, numéro 240, mai, 231 - C.T.
dernier des derniers loc. nom. m. non conv.  INJURE - GLLF, cit. Balzac ; TLF, cit. Goncourt, 1889 ; R, PR[77] (au fém.), cit. Renard ; Lex.[75], DELF, ø d.
1768 - «LA BOURBONNOISE, comme si elle pleuroit. Non, y veut me faire mourir de chagrin, y voudroit me voir crévée. Que je suis malheureuse ! On a un homme avec soi et ça ne vous soutient pas plus que si on étoit la derniere des dernieres La Bourbonnoise à la guinguette, 20 (Robustel) - P.E.
1834 - «[...] si les ultramontains ne nous asservissaient pas comme les derniers des derniers E. Sue, M. Crinet, in E. SueComédies sociales, 219 (Paulin) - P.E.
jus (c'est le dernier -) loc. phrast. non conv. PHRASÉOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1953 - «Papa ne chasse plus qu'à la lanterne, au feu follet et au ver luisant. C'est le dernier jus GuittonLe Cocotier, sc. 1 - P.W.
rang de la société (dernier -) loc. nom. m. SOCIOPOLIT. - DG, ø d ; absent TLF.
1783 - «dernier rang de la société : Ceux qui vivent des travaux mercenaires, manuels et serviles.» Philipon de la Madeleine, Vues patriotiques sur l'éducation du peuple (Lyon), in L'Evolution des idées sur l'éducation des masses à la fin du 18e siècle, Dossiers documentaires, janv. 1964, n° 3, 18 (I.P.N.) - LTP
ressort (en dernier -) loc. adv. DR. "sans appel" - FEW (12, 130b), GLLF, TLF, DHR, 1549, Est.
1529 - «Et les appellations qui seront interjettées des sentences de nosdits maîtres des requêtes pour raison desdits offices seront relevées en notre dit grand conseil et par icelui jugées, décidées et déterminées en dernier ressort [...].» Edit, in Recueil général des anciennes lois françaises, XII, 333 (Belin-Leprieur) - P.E.
soupir (rendre le dernier -) loc. verb. SANTÉ "mourir" - FEW (12, 474b), GLLF, TLF, DHR, 1671, Pomey ; DEL, 17e.
1611 - «[...] celui que j'y avois envoyé me rapporta qu'il luy avoit veu rendre le dernier soupir en une maison, où ce mesme qui l'avoit blessé se mordoit les mains d'avoir [...] osté la vie à un si honorable gentilhomme.» P. de Larivey, La Constance, in Ancien théâtre français, VI 272 (Jannet, 1855-57) - P.E.