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dégommé n.m. non conv. VIE PROF. "destitué de son emploi" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.-er, v.tr. : PR[77], 1832 ; TLF, BW6, ND4, 1833, Balzac ; E, GLLF, Lex.[75], 1834 ; R, 1842 ; FEW (4, 325a), 1845, Besch. ; L, ø d
1885 - «[...] nous avons fait appel au patriotisme du MINISTERE DEMISSIONNAIRE et nous avons ainsi sauvé les porte-monnaie d'un grand nombre de nos concitoyens ; car, lâchés sur les grandes routes, ces dégommés eussent été, comme toujours, capables de tout.» Le Triboulet, 12 avr., 6b - G.S.
dégommé adj. SANTÉ "abattu, qui a perdu sa prestance, sa belle apparence" - TLF, cit. Larch., 1858.
1745 - «Le f[rère] est tout Degommé : maladif.» P. Potier, in P.W. Halford (éd.), Le français des Canadiens à la veille de la Conquête, 78 (Les Presses de l'Université d'Ottawa, 1994) - P.H.
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