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cocarde n.f. ACCESS. "insigne de livrée" - DG, FEW (2, 861a), 1890 ; absent TLF.
1871 - «Leurs chapeaux [du cocher et du valet de pied de Renée Béraud du Châtel], ornés d'une cocarde noire, avaient une grande dignité.» Zola, La Curée, ch. I, in La Cloche, 29 sept., [1ère page], col. 2 - M.C.E.
cocarde (avoir sa -) loc. verb. non conv. US. ALIM. "être ivre" - DELF, mil. 19e ; TLF, 1861, Larchey ; FEW (2, 861a), 1869, Lar. ; R, GLLF, ø d.
1859 - «Robert, qui voit que nous avons fini de faire aller le négoce, nous dit à tous les deux : 'C'est pas tout ça ; vous avez votre cocarde (1), y faut éclairer (2). C'est six francs, sans compter la casse.' Je dis à Todore : 'Vas-y de ta part.' [Notes] (1) Vous êtes gris. (2) Payer.» Monselet, Le Musée secret de Paris, 79-80 (M. Lévy) - P.E.
cocarde nationale loc. nom. f. HIST. RÉVOL. "insigne des partisans du nouveau régime" - TLF, 1789, Moniteur ; FEW (2/II, 861a), 1792.
*1790 - «Cocarde nationale : C'est la livrée de notre liberté.» Mr de L'Epithète, Dict. national et anecdotique (Paris) - LTP
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