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caresser v.tr. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «[...] il faut caresser les prises, ne jamais les attirer, les pousser au contraire vers leur point d'appui.» La Montagne, numéro 237, févr., 67 - C.T.
caresser v.tr. ÉROT. "par ext. : avoir des rapports sexuels avec qqn" - FEW (2, 443a), 1787 ; absent TLF.
1734 - «J'ai déjà parlé des excès et des folies des convulsionnaires, et de leurs assemblées où ils s'appellent frères et soeurs. Il y a parmi ces dernières nombre de jeunes et jolies filles que les frères ont la charité de caresser saintement. [...] Il y a, entre autres, M. Carré de Mongeron, conseiller au Parlement, qui est fourré tout au travers de ces gens-là, et qui caressait dévotement une très jolie soeur actuellement détenue au château de Vincennes.» E.J.F. BarbierJourn. d'un bourgeois de Paris sous le règne de Louis XV, déc., 150-1 et 152 (Coll. 10/18, 1963) - R.R.
côtes (caresser les - à qqn) loc. verb. non conv. ACT. OBJET "le frapper" - GR[85], cit. Gibeau, 1952 ; BEI (chatouiller -), 20e ; GLLF, TLF (- de -), ø d.
1807 - «Mesurer les côtes à quelqu'un. C'est-à-dire, le battre, lui caresser les côtes, soit à coups de bâton, soit à coups de nerf de boeuf.» [D'Hautel]Dict. du bas-langage, I, 238 (Slatkine) - P.E.
1837 - «Je ne pensais déjà plus à cela, quand il vient sur moi, me passe la jambe, et se met à me caresser les côtes à grands coups de souliers. On l'arracha de dessus moi, mais il y allait d'un train, qu'il avait déjà eu le temps de me détériorer si complètement que je suis resté quinze jours sur le flanc avec des sangsues pour toute société.» Le Cabinet de lecture, n° 240, 20 juill., 14c - P.E.